Flores
Au jardin j’ai cueilli la rose,
Dont j’ameublis ce grand salon
Et s’en répand comme en vallon,
Un tendre parfum qui l’arrose.
Et quand nul ne conte fleurette
Si ce n’est pour une soirée
Quelle fleur offrir, rose ambrée ?
Pour moi, même la pâquerette !
Au jardin j’ai cueilli la rose,
Dont j’ameublis ce grand salon
Et s’en répand comme en vallon,
Un tendre parfum qui l’arrose.
La majesté me vaut que j’ose
Semer un bouton d’or selon
La rose tenant pour galon
Elle ne dénigre et me cause ;
Au jardin j’ai cueilli la rose,
Dont j’ameublis ce grand salon
Et s’en répand comme en vallon,
Un tendre parfum qui l’arrose.
Maria-Dolores
Au jardin j’ai cueilli la rose,
Dont j’ameublis ce grand salon
Et s’en répand comme en vallon,
Un tendre parfum qui l’arrose.
Et quand nul ne conte fleurette
Si ce n’est pour une soirée
Quelle fleur offrir, rose ambrée ?
Pour moi, même la pâquerette !
Au jardin j’ai cueilli la rose,
Dont j’ameublis ce grand salon
Et s’en répand comme en vallon,
Un tendre parfum qui l’arrose.
La majesté me vaut que j’ose
Semer un bouton d’or selon
La rose tenant pour galon
Elle ne dénigre et me cause ;
Au jardin j’ai cueilli la rose,
Dont j’ameublis ce grand salon
Et s’en répand comme en vallon,
Un tendre parfum qui l’arrose.
Maria-Dolores