Le poème ci-dessous est disponible à l'écoute pour celles et ceux qui le désirent en musique.
J'ai fait avec les moyens du bord dont un micro bas de gamme et j'en suis désolé. Voici le lien à copier dans votre navigateur:
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J'ai fait avec les moyens du bord dont un micro bas de gamme et j'en suis désolé. Voici le lien à copier dans votre navigateur:
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La vie est parfois pleine de surprises inattendues
Je suis là face à toi, après tant d’années. Qui l’aurait cru ?
Salut, comment tu vas ? Ca fait longtemps dit moi
Alors, raconte un peu, finalement, as-tu trouvé ton roi ?
A te regarder, je crois déceler un non et ça m’attriste
Tes envies d’ailleurs ont changé l’amour en gréviste
Sèches tes larmes petite, ce ne sont que des retrouvailles
Je sais, les souvenirs se bousculent et reviennent en batailles
Je me rappel de nous et de ces « je t’aime » si parfait en surface
De ma tendresse si profonde et sincère que j’en ai bue la tasse
J’ai essayé infiniment d’oublier chaque jour un peu plus
Et j’ai soigné le mal dans le flot de l’alcool et ses muses
J’ai écrit la détresse, les mots fragiles, la peine à en pleurer
Et fais le tour de la terre dans des rimes que je croyais enchainées
A qui la faute ? Peu importe, on s’est aimé bien plus que la plupart
J’étais toi, tu étais moi, et on se comprenait d’un simple regard
J’ai cherché à revivre et retrouver tout ça dans les bras d’une autre
Je voulais une femme comme toi, et revivre cet amour qui était nôtre
Quel idiot j’ai été de croire que l’amour à un visage unique
Qu’il suffisait de te remplacer pour que tout redevienne magnifique
Et oui, j’ai cru les belles promesses d’un amour, à la vie, à la mort
Je regrette tous les mots que je n’ai pas dis pour retenir ton corps
Aujourd'hui, dis, à quoi tu penses, j’ai bientôt 70 ans, tu vois
Et je suis là, à te parler, fixé sur ton nom, ton nom gravé sur cette croix
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La vie est parfois pleine de surprises inattendues
Je suis là face à toi, après tant d’années. Qui l’aurait cru ?
Salut, comment tu vas ? Ca fait longtemps dit moi
Alors, raconte un peu, finalement, as-tu trouvé ton roi ?
A te regarder, je crois déceler un non et ça m’attriste
Tes envies d’ailleurs ont changé l’amour en gréviste
Sèches tes larmes petite, ce ne sont que des retrouvailles
Je sais, les souvenirs se bousculent et reviennent en batailles
Je me rappel de nous et de ces « je t’aime » si parfait en surface
De ma tendresse si profonde et sincère que j’en ai bue la tasse
J’ai essayé infiniment d’oublier chaque jour un peu plus
Et j’ai soigné le mal dans le flot de l’alcool et ses muses
J’ai écrit la détresse, les mots fragiles, la peine à en pleurer
Et fais le tour de la terre dans des rimes que je croyais enchainées
A qui la faute ? Peu importe, on s’est aimé bien plus que la plupart
J’étais toi, tu étais moi, et on se comprenait d’un simple regard
J’ai cherché à revivre et retrouver tout ça dans les bras d’une autre
Je voulais une femme comme toi, et revivre cet amour qui était nôtre
Quel idiot j’ai été de croire que l’amour à un visage unique
Qu’il suffisait de te remplacer pour que tout redevienne magnifique
Et oui, j’ai cru les belles promesses d’un amour, à la vie, à la mort
Je regrette tous les mots que je n’ai pas dis pour retenir ton corps
Aujourd'hui, dis, à quoi tu penses, j’ai bientôt 70 ans, tu vois
Et je suis là, à te parler, fixé sur ton nom, ton nom gravé sur cette croix
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