De touts les troubadours et baladins
De touts les saltimbanques et acrobates
Arpentant le vaste monde dans leur voyage sans fin
Il en est un devant qui tous font halte
Vêtu d’élégants costumes ou d’habits rapiécés
Dans de majestueuses cours ou de simples rues
Mais toujours plus chaud que les feux d’Olciné
Tel est celui qui a bravé la fureur des flammes et y a survécu
Certains le disent fils d’une femme sans prétention
Et d’un vieux dragons solitaire
D’autres prétendent qu’il fit un pacte avec les démons
Et qu’en échange du pouvoir il condamna son âme aux enfers
Devant les rois ou les gueux
Il fait la preuve de son talent
Dominant la puissance du feu
En un ballet flamboyant
En une valse hypnotique
Il fait des flammes ses amantes
Et sous les yeux ébahis du public
Les embrasse dans une étreinte ardente
Peu lui importe la morsure du brasier
Il danse avec des serpents de feux
Jongle avec des torches enflammées
Et se contrefiche des femmes aux regards langoureux
Son âme c’est à celle du feu qu’il l’a liée
C’est à elle qu’il a juré fidélité jusqu’à ce que le ciel réclame son tribu
Et jamais cette promesse ne sera brisée
Seuls le seront les espoirs des jeunes filles ingénues
Dans un festival de braises et d’étincelles
Il devient feu follet
Bondissant et virevoltant tel un être irréel
Luttant avec acharnement pour ne pas s’effacer
Et quand la magie prend fin
Que les flammes s’éteignent tels des fantômes éthérés
Il redevient simple humain
Et s’incline sous les applaudissements endiablés
Puis il repart pour son interminable voyage
Un baluchon sur l’épaule
La bourse alourdie de quelques maigres gages
Libre vagabond sans chaîne ni geôle
De touts les saltimbanques et acrobates
Arpentant le vaste monde dans leur voyage sans fin
Il en est un devant qui tous font halte
Vêtu d’élégants costumes ou d’habits rapiécés
Dans de majestueuses cours ou de simples rues
Mais toujours plus chaud que les feux d’Olciné
Tel est celui qui a bravé la fureur des flammes et y a survécu
Certains le disent fils d’une femme sans prétention
Et d’un vieux dragons solitaire
D’autres prétendent qu’il fit un pacte avec les démons
Et qu’en échange du pouvoir il condamna son âme aux enfers
Devant les rois ou les gueux
Il fait la preuve de son talent
Dominant la puissance du feu
En un ballet flamboyant
En une valse hypnotique
Il fait des flammes ses amantes
Et sous les yeux ébahis du public
Les embrasse dans une étreinte ardente
Peu lui importe la morsure du brasier
Il danse avec des serpents de feux
Jongle avec des torches enflammées
Et se contrefiche des femmes aux regards langoureux
Son âme c’est à celle du feu qu’il l’a liée
C’est à elle qu’il a juré fidélité jusqu’à ce que le ciel réclame son tribu
Et jamais cette promesse ne sera brisée
Seuls le seront les espoirs des jeunes filles ingénues
Dans un festival de braises et d’étincelles
Il devient feu follet
Bondissant et virevoltant tel un être irréel
Luttant avec acharnement pour ne pas s’effacer
Et quand la magie prend fin
Que les flammes s’éteignent tels des fantômes éthérés
Il redevient simple humain
Et s’incline sous les applaudissements endiablés
Puis il repart pour son interminable voyage
Un baluchon sur l’épaule
La bourse alourdie de quelques maigres gages
Libre vagabond sans chaîne ni geôle