Finissait le soir
Au milieu de ce train, partit de Leningrad,
De wagons en salons, de champagne en cigares,
De ces orgies notoires, dignes de plantigrades,
Quand finissait la nuit; c’était encore le noir,
En profusion de vin, et poursuivre la fête,
L’homme de Cro-Magnon se transforme en fêtard,
Ces soirée illusoires sont bien rester en tête,
En ce grand train de nuit peut être échappatoire,
Votre absence si craint, fait de moi votre lad,
Vos mots égaux du son, hypnotisant cet art,
Et cet être rasoir, balbutiant, c’est très fade,
En serments de minuit, qui vous aime, hagard,
Des salons dans ce train, partout des gens en quête,
Des orgies aux wagons, J’ai mis pied à la gare,
Tout ce que je veux croire, sans être, trop sur sellette,
Et la lumière sans bruit, je vous aime sans fard.
Au milieu de ce train, partit de Leningrad,
De wagons en salons, de champagne en cigares,
De ces orgies notoires, dignes de plantigrades,
Quand finissait la nuit; c’était encore le noir,
En profusion de vin, et poursuivre la fête,
L’homme de Cro-Magnon se transforme en fêtard,
Ces soirée illusoires sont bien rester en tête,
En ce grand train de nuit peut être échappatoire,
Votre absence si craint, fait de moi votre lad,
Vos mots égaux du son, hypnotisant cet art,
Et cet être rasoir, balbutiant, c’est très fade,
En serments de minuit, qui vous aime, hagard,
Des salons dans ce train, partout des gens en quête,
Des orgies aux wagons, J’ai mis pied à la gare,
Tout ce que je veux croire, sans être, trop sur sellette,
Et la lumière sans bruit, je vous aime sans fard.