Je serais tel un martyre
Consumé par ses mots,
Subissant les assauts de ses lèvres
Incendiant l’aurore et le crépuscule
Sous frémissement de ses courbes,
Mourant de passion sous le siège de son corps
Brûlant de fièvres lancinantes
Le regard chevillant les vers.
C’est au souffle de sa lyre
De sa terre promisse sous les vapeurs de son parfum,
Arrosée par les perles blanches de sa rosée
Caressant le soleil chaud du sud,
Que se lit le plus profond de mes rêves,
Captif de ses foudres
Sous les récifs chauds de son corps
De ses flots sans trêves agités
Nourrissant les lignes de ma main.
Consumé par ses mots,
Subissant les assauts de ses lèvres
Incendiant l’aurore et le crépuscule
Sous frémissement de ses courbes,
Mourant de passion sous le siège de son corps
Brûlant de fièvres lancinantes
Le regard chevillant les vers.
C’est au souffle de sa lyre
De sa terre promisse sous les vapeurs de son parfum,
Arrosée par les perles blanches de sa rosée
Caressant le soleil chaud du sud,
Que se lit le plus profond de mes rêves,
Captif de ses foudres
Sous les récifs chauds de son corps
De ses flots sans trêves agités
Nourrissant les lignes de ma main.