Aujourd'hui, j'ai terni, cette pauvre feuille blanche
Pour déverser ma rage, face à l'incompétence
De cette plume qui salit le papier, mauvaise ingérence,
Et qui marque ma vie d'une insulte bien franche.
Je sais que tous mes mots annihileront mon égo.
Je ne suis pas Rimbaud, je n'aime pas mes mots,
Ils tranchent le papier et me tranchent les veines,
Ils m'affublent d'un nom, comme si j'étais Verlaine.
Mes mots sortent de mon corps dans un venin d'écrit,
Ils n'ont pas d'autre choix, que de s'exécuter,
Parce que je suis lasse de penser que tout ce que j'écris,
Pourrait plaire à quelqu'un, même de mon passé.
J'n'aurais jamais fini, de casser mes écrits,
Simplement, ils sont ternes et manquent tous de vie.
Je n'aurais jamais du venir m'inscrire ici,
Car tout ce que j'ai lu est meilleur que ma vie.
Mes écrits manquent de formes, de couleurs et de vie,
Je ne sais plus quoi faire pour changer mes écrits,
Même si je parvenais à trouver des mots purs,
Ils ne seraient pas bon, employés comme impurs.
Pour déverser ma rage, face à l'incompétence
De cette plume qui salit le papier, mauvaise ingérence,
Et qui marque ma vie d'une insulte bien franche.
Je sais que tous mes mots annihileront mon égo.
Je ne suis pas Rimbaud, je n'aime pas mes mots,
Ils tranchent le papier et me tranchent les veines,
Ils m'affublent d'un nom, comme si j'étais Verlaine.
Mes mots sortent de mon corps dans un venin d'écrit,
Ils n'ont pas d'autre choix, que de s'exécuter,
Parce que je suis lasse de penser que tout ce que j'écris,
Pourrait plaire à quelqu'un, même de mon passé.
J'n'aurais jamais fini, de casser mes écrits,
Simplement, ils sont ternes et manquent tous de vie.
Je n'aurais jamais du venir m'inscrire ici,
Car tout ce que j'ai lu est meilleur que ma vie.
Mes écrits manquent de formes, de couleurs et de vie,
Je ne sais plus quoi faire pour changer mes écrits,
Même si je parvenais à trouver des mots purs,
Ils ne seraient pas bon, employés comme impurs.
