Le monde qu"il sculptait d'œuvres surréalistes,
s"inclinera toujours en hommage à l'artiste,
à la plume de feu volant dans tous les sens,
près d'électrique nue où l'éclair sent l'encens!.
Bohémien au grand cœur au Parnasse des muses,
l'auberge où tu t'endors enjôle les regards,
petit poucet rêveur, ce trou de ver t'amuse,
les brumes le voilant encrent tes yeux hagards!.
Car des ondes fuyantes, caressées par les vents,
fleurissent l'azur vert d'aurores boréales,
d'envoûtantes couleurs sur des tapis volants,
saisissant les démons où flotte la Réale!.
Ô! poussières solaires aux pensées libérées,
Ô! mystiques lueurs sur les vagues océans,
ordonnez la sagesse aux pâleurs égarées,
cupides affameurs condamnées au néant!.
La nuit fond dans un ciel dévoré par les braises
aux geysers jaillissants du ténébreux abysse
là, coule le sang gris qui nourrit la daraise
vers un étang sacré où règne la justice!.
Adossées sur les bancs des arches religieuses,
certains pouvaient penser que ces abris célestes
offriraient à leurs corps le salut sans un geste,
ici, sombre l'espoir des ombres fallacieuses!.
Diaboliques prêcheurs, vous crucifiez mon nom,
créateur éternel à la barbe azurée,
Belenos vous maudit quand au son des canons
les pleurs noient tous les coeurs de larmes lasurées!.
Des feux, la flamme naît de mes enfants stellaires
sataniques tueurs sous mes rayons brûlant
la haine qui vous meut déchaîne ma colère,
protubérance errant, cloues ces loups hurlants!.
La planète meurtrie au lit du père temps,
par la mère sacrée enfante des mutants!.
Mais, face au mal, à ces horreurs, à ces souffrances,
quand l'arc-en-ciel d'iris cible la délivrance,
O, poète lyrique au pinceau tu le peins,
ce monde si funeste en profondes couleurs,
féal des partitions, ta baguette à la main
la symphonie dorée ensoleille les choeurs!.
Harmonieuses visions, enchantement des sens,
tes vers charment les yeux et de leur mélodie,
en ton âme jouant rêve à contresens
mille pensers divins montent en harmonie!.
L'avalanche des mots, près du pic le plus haut,
d'éternelle blancheur glorifie ta voltige!.
de l'idée des sommets, du loup jusqu'à l'agneau,
subliment l'écriture image de prestige!.
De ce joug du lyrisme aussi léger soit-il,
joug salutaire et doux porté si fièrement,
gracieusement posé sur les têtes dociles,
tu dois savoir parfois secouer fortement!.
Etoile vénérée, émouvante beauté
d'un air majestueux, tu façonnes l'instant
quand dans un halo bleu sombre nuit des temps....
s"inclinera toujours en hommage à l'artiste,
à la plume de feu volant dans tous les sens,
près d'électrique nue où l'éclair sent l'encens!.
Bohémien au grand cœur au Parnasse des muses,
l'auberge où tu t'endors enjôle les regards,
petit poucet rêveur, ce trou de ver t'amuse,
les brumes le voilant encrent tes yeux hagards!.
Car des ondes fuyantes, caressées par les vents,
fleurissent l'azur vert d'aurores boréales,
d'envoûtantes couleurs sur des tapis volants,
saisissant les démons où flotte la Réale!.
Ô! poussières solaires aux pensées libérées,
Ô! mystiques lueurs sur les vagues océans,
ordonnez la sagesse aux pâleurs égarées,
cupides affameurs condamnées au néant!.
La nuit fond dans un ciel dévoré par les braises
aux geysers jaillissants du ténébreux abysse
là, coule le sang gris qui nourrit la daraise
vers un étang sacré où règne la justice!.
Adossées sur les bancs des arches religieuses,
certains pouvaient penser que ces abris célestes
offriraient à leurs corps le salut sans un geste,
ici, sombre l'espoir des ombres fallacieuses!.
Diaboliques prêcheurs, vous crucifiez mon nom,
créateur éternel à la barbe azurée,
Belenos vous maudit quand au son des canons
les pleurs noient tous les coeurs de larmes lasurées!.
Des feux, la flamme naît de mes enfants stellaires
sataniques tueurs sous mes rayons brûlant
la haine qui vous meut déchaîne ma colère,
protubérance errant, cloues ces loups hurlants!.
La planète meurtrie au lit du père temps,
par la mère sacrée enfante des mutants!.
Mais, face au mal, à ces horreurs, à ces souffrances,
quand l'arc-en-ciel d'iris cible la délivrance,
O, poète lyrique au pinceau tu le peins,
ce monde si funeste en profondes couleurs,
féal des partitions, ta baguette à la main
la symphonie dorée ensoleille les choeurs!.
Harmonieuses visions, enchantement des sens,
tes vers charment les yeux et de leur mélodie,
en ton âme jouant rêve à contresens
mille pensers divins montent en harmonie!.
L'avalanche des mots, près du pic le plus haut,
d'éternelle blancheur glorifie ta voltige!.
de l'idée des sommets, du loup jusqu'à l'agneau,
subliment l'écriture image de prestige!.
De ce joug du lyrisme aussi léger soit-il,
joug salutaire et doux porté si fièrement,
gracieusement posé sur les têtes dociles,
tu dois savoir parfois secouer fortement!.
Etoile vénérée, émouvante beauté
d'un air majestueux, tu façonnes l'instant
quand dans un halo bleu sombre nuit des temps....
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