ETERNELLE SOLITUDE
Dans ce port de plaisance,
Au ‘‘Cinémanivelle’’, ciné de ma ville,
J’ère pour chasser cette présence,
Ma solitude qui pèse sur mes chevilles,
Devant mon verre en verre,
Je cherche et devine mes vers,
Jeux de mots, jeu de passion,
Je parcours le vide pour nourrir ma passion,
Cherchant mon inspiration,
Je jette un œil autour de moi,
Je la trouve, telle une apparition,
Comme forcé, sans avoir le choix,
J’observe délicatement cet ange,
En débutant par son beau visage,
Qui à mes yeux est un mirage,
Ses perles sont telle la mélodie d’une mésange,
Beau, unique et majestueux,
De la voir, comme c’est merveilleux,
Elle est un spectacle d’amour,
Alors je la regarde et la savoure,
J’aimerai pouvoir m’approcher,
Or je suis vaincu par ma timidité,
Comme toujours la merveille,
Ne restera qu’un rêve gravé,
Son image inonde à présent mes pensées,
Jusqu’à ce que se lève, le soleil,
Cependant je ne m’arrêterai pas,
D’espérer, car au conte de fée j’y crois…
Ludovic IZAMBARD
Le 21 Octobre 2012
Le 21 Octobre 2012
