Entendez -vous !
Entendez-vous la voix des vagues,
Caressant mon corps en alpague,
Corps écrin de rêves engloutis,
Sans âme, sur le sable égouttis.
Il était autrefois animé
Dans ma demeure déracinée.
Par cette démence humaine,
A l’apparence higoumène.
Je n’ai plus froid, ni besoin d’asile,
Ni voir, mon peuple labile.
Je suis dans les éternelles contrées,
Vous, de vous actes vous répondrez !
Votre folie sème discorde,
Vos peuples demain vous encordent.
Au bout d’une branche bien mûre,
Ou d’une balle, le dos au mur.
Votre nom allongera la rime,
De tous ces instruments de crime.
Quel sang coule donc dans vos veines ?
Votre voie nous a conduits à l’aven.
Entendez-vous la voix des vagues,
Caressant mon corps en alpague,
Corps écrin de rêves engloutis,
Sans âme, sur le sable égouttis.
Il était autrefois animé
Dans ma demeure déracinée.
Par cette démence humaine,
A l’apparence higoumène.
Je n’ai plus froid, ni besoin d’asile,
Ni voir, mon peuple labile.
Je suis dans les éternelles contrées,
Vous, de vous actes vous répondrez !
Votre folie sème discorde,
Vos peuples demain vous encordent.
Au bout d’une branche bien mûre,
Ou d’une balle, le dos au mur.
Votre nom allongera la rime,
De tous ces instruments de crime.
Quel sang coule donc dans vos veines ?
Votre voie nous a conduits à l’aven.
Dernière édition: