En un moment languissant,
Le regart est perdu l'horizon,
Vers un univers isolé et détaché
Et vers les hauts et les visées.
L'esprit est évadé vers
Les collines les plus élevées.
Les sensationss sont épuisées,
Devant un goût orgueilleux.
L'esprit est aéré
par un air embaumé.
Seule, je suis accablée
de ce temps empoisonneux.
La vie nous a laissé
Dans un forêt condensé.
Et dans un archipel
où l'espoir nous appelle.
Désunie, dans un isthme perdu.
En agitant dans les affluents,
Qui sont pénétrants
Egalement jusqu'au fond.
Le regart est perdu l'horizon,
Vers un univers isolé et détaché
Et vers les hauts et les visées.
L'esprit est évadé vers
Les collines les plus élevées.
Les sensationss sont épuisées,
Devant un goût orgueilleux.
L'esprit est aéré
par un air embaumé.
Seule, je suis accablée
de ce temps empoisonneux.
La vie nous a laissé
Dans un forêt condensé.
Et dans un archipel
où l'espoir nous appelle.
Désunie, dans un isthme perdu.
En agitant dans les affluents,
Qui sont pénétrants
Egalement jusqu'au fond.