C’est un pauvre cœur trop ardent
Qui se trempe dans l’onde amère
Sous le soleil incandescent
Ses souvenirs sont une chimère
A Porquerolles soleil brûlant
Sosie d’une fille tant aimée
Elle voulait être pilotée
Et l’a ému profondément
Tout d’abord la plage d’argent
Puis plage noire et naturisme
Il se voulait d’un bel altruisme
Batifolages, jeux innocents…
Oustéou de Diou, corps pâmés
Une attirance qui délivre
Du monotone effort de vivre
Et d’aimer, privé à jamais !
La différence d’âge, qu’est-ce que c’est ?
« C’est jamais qu’une différence d’âge »
Le présent seul fut leur adage
Dans l’ombre propice, exaltés !
Souvenir, livre bien aimé
Corps à corps, jamais effacé
Désir qui montre son visage
Désormais plus aucun barrage
Fruit mûr où il se fait pesant
Soupirs mêlés, jusqu’au plaint chant
Puis immobile il la contemple
Un peu comme un fidèle au temple
Dés lors, repus mais non comblés
Elle et lui, se sont racontés
Non sans perdurer les caresses
Prémices d’une prochaine ivresse
Le temps est si vite passé
Vers le port ils se sont pressés
Sur le bateau les vieilles pies
Trouvaient leur attitude impie
Entre eux un magique secret
Mais teinté déjà de regret
Sentant la fin de l’aventure
Et le quotidien qui torture…
Un décor jamais effacé
Il la revoit : belle du passé
Un trop bref bonheur sur sa route
Devenue carrefour du doute…
Jan
( Missmot : pour "arrêt sur image" je n'ai pas cherché longtremps dans ma mémoire ! )
Qui se trempe dans l’onde amère
Sous le soleil incandescent
Ses souvenirs sont une chimère
A Porquerolles soleil brûlant
Sosie d’une fille tant aimée
Elle voulait être pilotée
Et l’a ému profondément
Tout d’abord la plage d’argent
Puis plage noire et naturisme
Il se voulait d’un bel altruisme
Batifolages, jeux innocents…
Oustéou de Diou, corps pâmés
Une attirance qui délivre
Du monotone effort de vivre
Et d’aimer, privé à jamais !
La différence d’âge, qu’est-ce que c’est ?
« C’est jamais qu’une différence d’âge »
Le présent seul fut leur adage
Dans l’ombre propice, exaltés !
Souvenir, livre bien aimé
Corps à corps, jamais effacé
Désir qui montre son visage
Désormais plus aucun barrage
Fruit mûr où il se fait pesant
Soupirs mêlés, jusqu’au plaint chant
Puis immobile il la contemple
Un peu comme un fidèle au temple
Dés lors, repus mais non comblés
Elle et lui, se sont racontés
Non sans perdurer les caresses
Prémices d’une prochaine ivresse
Le temps est si vite passé
Vers le port ils se sont pressés
Sur le bateau les vieilles pies
Trouvaient leur attitude impie
Entre eux un magique secret
Mais teinté déjà de regret
Sentant la fin de l’aventure
Et le quotidien qui torture…
Un décor jamais effacé
Il la revoit : belle du passé
Un trop bref bonheur sur sa route
Devenue carrefour du doute…
Jan
( Missmot : pour "arrêt sur image" je n'ai pas cherché longtremps dans ma mémoire ! )