Lipogramme sans la lettre A
Comme elles défilent, mes nuits,
En rêves toujours secrets
Où je me perds sur les circuits
Des mes longs chemins discrets.
Le soleil seul illumine
Le sombre de mon existence
Dont mes pensées cheminent
Vers des moments de pénitence.
Je te pense et je te dessine,
Près de moi, tu suis les sentiers
Courons, volons, cette endorphine
Réveille nos sens sous les cocotiers.
Souffle un doux vent de folie
En tendres mots ensorceleurs,
Sous déesse lune, embellie,
Merci toi, qui berce mon cœur.
© CECILIN
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