"L'Amour n'a pas d'âge..."
Il était une fois, un monsieur très âgé
Bien qu’encore lucide et jamais fatigué
Il était depuis peu en maison de retraite
Le gîte et le couvert mais sa pension distraite
Elle n’avait que vingt ans, employée dévouée
Lui, elle l’appréciait, même un peu fascinée
Par sa grande culture et son comportement
Avec le personnel toujours si déférent
Rencontres journalières et amitié naissante
Elle aimait discuter étant reconnaissante
Pour sa longue expérience et son enseignement
D’une réalité qui forcément l’attend
Mal compris par les autres ils étaient critiqués
Elle, ses collègues, lui les collets montés
Cela les amusait et ils n’en avaient cure
Leurs sentiments étaient une amitié très pure
Sa vie à l’extérieur laissant à désirer
Ses deux premiers amours s’étant mal terminés
Elle se racontait, il avait la patience
D’écouter longuement sans ramener sa science
Lui ,des deux le premier, il a réalisé
La place qu’elle prenait ; que son cœur s’emballait
Il s’est morigéné et mis de la distance
Arguant de son grand âge en toutes circonstances
Les Femmes ont des antennes elle a très bien compris
Qu’à tant la côtoyer il s’en était épris
En ayant oublié sa beauté, sa jeunesse
Retrouvant ses esprits, parlant de sa vieillesse
Elle n’a jamais compris ce qui lui arrivait
Car d’être dans ses bras la nuit elle en rêvait
Bien que sans devenir une vraie Messaline
C'est en toutes occasions qu'elle était trop câline
De ce que femme veut, comment bien s’en défendre
En se collant à lui, elle se faisait comprendre
Et lui il ressentait à nouveau un désir
Qui a tout emporté les a fait s’assouvir !
Il eut voulu pour elle avoir de la richesse
Et lui faire oublier son état de vieillesse
Mais elle avec un rire disait qu’elle s’en ‘fichait’
Qu’il lui donnait bien mieux : un ‘plaisir’ partagé !
Pour lui un vrai bonheur, mais toujours angoissé
Que lui apportait-il ? qu’avait-elle à gagner ?
Mais elle répondait : pour ce que tu m’apportes
Te donner du bonheur, moi ça me réconforte….
Côté érotique quoi que vous en pensiez
Si je vous racontais, jalouses vous seriez !
Ainsi au jour le jour, les mois et les années
Leur bonheur fut complet, avant fin devinée…
Jan
Ce n'est qu'une histoire...Il était une fois, un monsieur très âgé
Bien qu’encore lucide et jamais fatigué
Il était depuis peu en maison de retraite
Le gîte et le couvert mais sa pension distraite
Elle n’avait que vingt ans, employée dévouée
Lui, elle l’appréciait, même un peu fascinée
Par sa grande culture et son comportement
Avec le personnel toujours si déférent
Rencontres journalières et amitié naissante
Elle aimait discuter étant reconnaissante
Pour sa longue expérience et son enseignement
D’une réalité qui forcément l’attend
Mal compris par les autres ils étaient critiqués
Elle, ses collègues, lui les collets montés
Cela les amusait et ils n’en avaient cure
Leurs sentiments étaient une amitié très pure
Sa vie à l’extérieur laissant à désirer
Ses deux premiers amours s’étant mal terminés
Elle se racontait, il avait la patience
D’écouter longuement sans ramener sa science
Lui ,des deux le premier, il a réalisé
La place qu’elle prenait ; que son cœur s’emballait
Il s’est morigéné et mis de la distance
Arguant de son grand âge en toutes circonstances
Les Femmes ont des antennes elle a très bien compris
Qu’à tant la côtoyer il s’en était épris
En ayant oublié sa beauté, sa jeunesse
Retrouvant ses esprits, parlant de sa vieillesse
Elle n’a jamais compris ce qui lui arrivait
Car d’être dans ses bras la nuit elle en rêvait
Bien que sans devenir une vraie Messaline
C'est en toutes occasions qu'elle était trop câline
De ce que femme veut, comment bien s’en défendre
En se collant à lui, elle se faisait comprendre
Et lui il ressentait à nouveau un désir
Qui a tout emporté les a fait s’assouvir !
Il eut voulu pour elle avoir de la richesse
Et lui faire oublier son état de vieillesse
Mais elle avec un rire disait qu’elle s’en ‘fichait’
Qu’il lui donnait bien mieux : un ‘plaisir’ partagé !
Pour lui un vrai bonheur, mais toujours angoissé
Que lui apportait-il ? qu’avait-elle à gagner ?
Mais elle répondait : pour ce que tu m’apportes
Te donner du bonheur, moi ça me réconforte….
Côté érotique quoi que vous en pensiez
Si je vous racontais, jalouses vous seriez !
Ainsi au jour le jour, les mois et les années
Leur bonheur fut complet, avant fin devinée…
Jan