Ô douce mélopée,
Envahis mon corps embaumé,
Parcelle de ta peau chancelée…
Dans un rivage désuet,
Où se meurt ta beauté !
D’un geste écumé,
D’un bruit parsemer,
Éclat de ta voix surgissant, en perle de rosée.
Vogue mon âme éperdue,
Tel un navire échoué !
Dans le rebord de ton être enraciné,
Ô toi douce mélopée,
Aux gestes saugrenus,
Venu à genou…
Dans un cris étourdi,
Dans une larme ébahis,
Ou chavire la pose de ton envole…
Délicieuse chasteté,
Voile de désir avouer,
Dans mes veines coulent …
Votre charmante dentelle,
Dans les couloirs du temps,
Où j’aimerai me perdre dans un soupir,
D’allégresse sagement endormi,
O vous ma tendre Mie,
Mon adorée, mon apogée,
Mon pêcher tant désiré,
Expier mes fautes, dans vos yeux abasourdis.
M’endormissent en votre sein assouvi !
Envahis mon corps embaumé,
Parcelle de ta peau chancelée…
Dans un rivage désuet,
Où se meurt ta beauté !
D’un geste écumé,
D’un bruit parsemer,
Éclat de ta voix surgissant, en perle de rosée.
Vogue mon âme éperdue,
Tel un navire échoué !
Dans le rebord de ton être enraciné,
Ô toi douce mélopée,
Aux gestes saugrenus,
Venu à genou…
Dans un cris étourdi,
Dans une larme ébahis,
Ou chavire la pose de ton envole…
Délicieuse chasteté,
Voile de désir avouer,
Dans mes veines coulent …
Votre charmante dentelle,
Dans les couloirs du temps,
Où j’aimerai me perdre dans un soupir,
D’allégresse sagement endormi,
O vous ma tendre Mie,
Mon adorée, mon apogée,
Mon pêcher tant désiré,
Expier mes fautes, dans vos yeux abasourdis.
M’endormissent en votre sein assouvi !