Invisible, le noir de la vision surgie
Imprévisible, le miroir de l’âme prend vie
Cette sphère nous appelle à vive voix
Pénétrant notre chair, surpassant les lois
Le voyage de l’Être en est route
Cadeaux ou obstacles, un défi de l’esprit
Joie ou malheur, victoire ou déroute
Blanc ou noir, à la mort à la vie, ce chemin nous poursuit
Le calme s’agite à la vue de ce dessin tapissé
Un nuage se forme au matin de l’aurore
Puis s’abat par la pluie du ciel tigré
Car au midi du parcours, le soleil est d’or
L’Ouragan se déchaine, la tempête s’éveille
Le soir s’apaise par un frisson qui nous pique
S’enracine et se noie dans un éphémère sommeil
Bâtissant une alchimie de sensations, joyeuses ou tragiques
Abracadabra, et la magie s’en suit
Le siège de l’esprit acquiert une place
Au cœur du nuage, au sein de la nuit
Pour enfin le comprendre et suivre sa trace
La rosace de l’émoi est en effervescence
Un torrent pure de sentiments ruisselles
Notre âme la ressent, paralysant tous nos sens
Puis l’entrave de ses farouches mains immatérielles
Le noir se jette dans le lac du Léthé
Le blanc nage dans une harmonie de lumière
Les deux visages du nuage abritent l’ultime destinée
Sauf si une troisième couleur se forge dans la pierre
Les vers de l’abstrait sont à l’œuvre
Le poète en chuchote les mille sens
Afin de conclure en l’ultime manœuvre
La destinée du phénomène en puissance
Un départ du matin, d’un midi, le sacre parcourant la vie
Un chemin de l’après, du soir, le trône de la perception
Ainsi qu’une fin, le soleil divin, l’avènement du roi nuit
Dont l’étrange ressenti se nomme Emotion
Imprévisible, le miroir de l’âme prend vie
Cette sphère nous appelle à vive voix
Pénétrant notre chair, surpassant les lois
Le voyage de l’Être en est route
Cadeaux ou obstacles, un défi de l’esprit
Joie ou malheur, victoire ou déroute
Blanc ou noir, à la mort à la vie, ce chemin nous poursuit
Le calme s’agite à la vue de ce dessin tapissé
Un nuage se forme au matin de l’aurore
Puis s’abat par la pluie du ciel tigré
Car au midi du parcours, le soleil est d’or
L’Ouragan se déchaine, la tempête s’éveille
Le soir s’apaise par un frisson qui nous pique
S’enracine et se noie dans un éphémère sommeil
Bâtissant une alchimie de sensations, joyeuses ou tragiques
Abracadabra, et la magie s’en suit
Le siège de l’esprit acquiert une place
Au cœur du nuage, au sein de la nuit
Pour enfin le comprendre et suivre sa trace
La rosace de l’émoi est en effervescence
Un torrent pure de sentiments ruisselles
Notre âme la ressent, paralysant tous nos sens
Puis l’entrave de ses farouches mains immatérielles
Le noir se jette dans le lac du Léthé
Le blanc nage dans une harmonie de lumière
Les deux visages du nuage abritent l’ultime destinée
Sauf si une troisième couleur se forge dans la pierre
Les vers de l’abstrait sont à l’œuvre
Le poète en chuchote les mille sens
Afin de conclure en l’ultime manœuvre
La destinée du phénomène en puissance
Un départ du matin, d’un midi, le sacre parcourant la vie
Un chemin de l’après, du soir, le trône de la perception
Ainsi qu’une fin, le soleil divin, l’avènement du roi nuit
Dont l’étrange ressenti se nomme Emotion