Embruns
L’astre renaît, éclaire l’horizon
Et traçant sur la page un trait de plume
Où tout se résume
À ces crayons il me dépeint en brume
Sur laquelle on hume
En fragrance comme ombre à la saison.
S’infiltre son odeur dans tout mon être
Enivrant mon chemin, telle forêt
En plaisir ocré
Or s’envole en mon cœur aucun regret
Si l’amour s’offrait
Seul naîtra dans une alcôve secrète.
L’astre renaît, éclaire l’horizon
Et traçant sur la page un trait de plume
Où tout se résume
À ces crayons peignent sur cette brume
Sur laquelle on hume
En fragrance comme ombre à la saison.
Un chant de mélusine est de coutume
Chacun sous le son tombe en pâmoison
L’écume en toison
À l’océan versant tout à foison
Sa nue oraison
Aux embruns dispersant son amertume.
L’astre renaît, éclaire l’horizon
Et traçant sur la page un trait de plume
Où tout se résume
À ces crayons il me dépeint en brume
Sur laquelle on hume
En fragrance comme ombre à la saison.
S’infiltre son odeur dans tout mon être
Enivrant mon chemin, telle forêt
En plaisir ocré
Or s’envole en mon cœur aucun regret
Si l’amour s’offrait
Seul naîtra dans une alcôve secrète.
L’astre renaît, éclaire l’horizon
Et traçant sur la page un trait de plume
Où tout se résume
À ces crayons peignent sur cette brume
Sur laquelle on hume
En fragrance comme ombre à la saison.
Un chant de mélusine est de coutume
Chacun sous le son tombe en pâmoison
L’écume en toison
À l’océan versant tout à foison
Sa nue oraison
Aux embruns dispersant son amertume.
L’astre renaît, éclaire l’horizon
Et traçant sur la page un trait de plume
Où tout se résume
À ces crayons il me dépeint en brume
Sur laquelle on hume
En fragrance comme ombre à la saison.
Maria-Dolores
Et traçant sur la page un trait de plume
Où tout se résume
À ces crayons il me dépeint en brume
Sur laquelle on hume
En fragrance comme ombre à la saison.
Maria-Dolores