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elles mériterait tout une autre vie et pourtant se qu' elles vivent est l'enfer

linna

Maître Poète
#1
Elles n'osent pas faires le premiers pas
Et pourtant elles ont droits à une tout autres vies
Ses femmes battues .

Elles sont la à se cachées derrière leur lourd
Fardeau des vêtements jusquen haut
Pour masquer les coups
De leurs maris devenu fous.

Elles ont peur de les quittées
Peur d'etre juger, d'être retrouvées
Jusqu'à être tuées
Entre les insultes et les menaces au fur à mesure
du temps qui passe.

Elles ne sortent plus
Ne parlent plus elles n'ont plus le goût à rien
Elles sont dans un autre monde
Dans la pénombre bien esseulées
Avec milles pensées.

Et pourtant elles restent la
Avec culpabilité à se poser milles
Questions, à tenir pour de bon
Car elles aiment encore leurs maris
Même si ils passent leurs temps à se déchaîner
Sur elles, c'est si réelle

Ils les regardent sans vergogne
Jusqu'à les voir pleurer
A venir leur demander pardon
En leurs faisant milles promesses
En suspend en leurs disant je recommencerais
Plus et c'est peine perdu.

Elles se reconnaissent plus
Ses femmes battues
Et pourtant bien souvent
Femmes et enfants se retrouvent
Au milieu de tout sa
Sous l'emprise des fous
Des cris, et des coups
Que même les voisins en sont sourds.

Elles ne réagissent en rien
Elles voudraient pliées bagages
Et prendrent leurs jambes à leurs cou
Se tiré de la
Histoire tu verra un petit peu se sera pas toi.

Elles pensent est qu, ils me méritent?
Alors que quand il se montrent
En public ils sont si aimants si charmants
Laissant passée mine de rien
Que sont ses fous si violents, près à en venir
Aux mains à frapper sans mépris
Sur les corps des femmes sans défenses.

Elles mettent si longtemps à comprendre
Que parfois c'est fleurs à la main
Qu, ont se retrouvent
Car ses femmes n'ont plus de souffle
Les souffrances sont belles et bien finies
Enfin si elle c'était enfouies

Elles restent souvent
Et bien aussi dur qu'ils en soit
Une boite en sapin , ou bien gisant
Dans leur sang
A causes de ses fous alliées
Alors que ses femmes n'ont rien méritées.