Elle t'aimait
Toi tu montes le son, pour ne plus l'écouter
Et tu fais le con, pour ne pas l'épouser.
Mais tu touches le fond, et tu vas exploser,
Car tu sais qu'un « non » pourrai la tuer.
Et tu fais le con, pour ne pas l'épouser.
Mais tu touches le fond, et tu vas exploser,
Car tu sais qu'un « non » pourrai la tuer.
Alors tu cherches son absence pour partir,
Comme une révérence pour ne pas revenir,
Une circonstance qui la force à te dire,
« Que notre amour est intense, mais qu'il n'a plus d'avenir. »
Comme une révérence pour ne pas revenir,
Une circonstance qui la force à te dire,
« Que notre amour est intense, mais qu'il n'a plus d'avenir. »
« Juste un dernier effort, juste une dernière chance »
Elle attendait sa mort, comme une sombre danse.
Ses paroles étaient d'or, mais toi tu n'y penses
Qu'après avoir vu son corps, dans cette ambulance.
Elle attendait sa mort, comme une sombre danse.
Ses paroles étaient d'or, mais toi tu n'y penses
Qu'après avoir vu son corps, dans cette ambulance.
Elle était ton pion et le jeu tu l'as gagné,
Tu remportes la mission, celle de l'avoir tué.
Comme une abnégation, elle s'était effacée,
Mais de sa dépression, tu ne l'as pas délivré.
Tu remportes la mission, celle de l'avoir tué.
Comme une abnégation, elle s'était effacée,
Mais de sa dépression, tu ne l'as pas délivré.
Un dernier message, auprès de son lit
« Mon amour je partage, toutes tes envies,
Même les moins sages, celles proches de la folie,
Mais sache que ma rage, m'enterre dans le mépris,
Elle me masque le visage, me regarde et sourie.
Elle m'enferme dans sa cage, jusqu'à l'infinie.
Tes actes l'animent et resserrent les barreaux,
C'est toi qui me décimes, vous êtes mes bourreaux »
« Mon amour je partage, toutes tes envies,
Même les moins sages, celles proches de la folie,
Mais sache que ma rage, m'enterre dans le mépris,
Elle me masque le visage, me regarde et sourie.
Elle m'enferme dans sa cage, jusqu'à l'infinie.
Tes actes l'animent et resserrent les barreaux,
C'est toi qui me décimes, vous êtes mes bourreaux »