Mon tout petit moineau,que tu as du souffrir
Si seule, isolée,dans ta grande maison
Tu attendais en vain du printemps,la floraison
La pluie tombait à ne plus en finir.
Jour aprés jour,tu te sentais plus mal
Jamais tu n'as voulu me déranger
Tu es restée là,sans gémir,sans bouger
Pour affronter la mort,en combat inégal.
Certaines journées ont du te sembler vides
A espérer un toc toc amical
Pauvre maman,j'ai du te faire mal
A habiter si loin, égoiste, candide.
Quand le mal venait,je sais quelle terreur
Tu as du ressentir,pauvrette abandonnée
A rester là par terre,sans pouvoir te lever
Quelle angoisse a du te serrer le coeur.
Et ce dernier jour,que t -es-t il arrivé ?
Je vois encore des choses qui me hantent encore
Des choses qui disaient la détresse d'un corps
Qui arrive à sa fin sans pouvoir esquiver.
Je te vois t'accrocher dans un ultime effort
Tu regagnes ton lit, ton supréme refuge
Tu t'effondres ,et attends le Grand Juge
Epuisée,résignée à accepter la mort.
Je pense que ta fin fut délivrance
Tu ne luttais plus,trop lasse de la vie
Plus d'espoir,tu n'avais plus d'envies
Tu avais besoin de longues vacances.
Tu as laisser la bougie s'assoupir
La flamme vacillante s'est éteinte à jamais
Elle arrete la torture qui te meurtrissait
Mon tout petit moineau,que tu as du souffrir
Si seule, isolée,dans ta grande maison
Tu attendais en vain du printemps,la floraison
La pluie tombait à ne plus en finir.
Jour aprés jour,tu te sentais plus mal
Jamais tu n'as voulu me déranger
Tu es restée là,sans gémir,sans bouger
Pour affronter la mort,en combat inégal.
Certaines journées ont du te sembler vides
A espérer un toc toc amical
Pauvre maman,j'ai du te faire mal
A habiter si loin, égoiste, candide.
Quand le mal venait,je sais quelle terreur
Tu as du ressentir,pauvrette abandonnée
A rester là par terre,sans pouvoir te lever
Quelle angoisse a du te serrer le coeur.
Et ce dernier jour,que t -es-t il arrivé ?
Je vois encore des choses qui me hantent encore
Des choses qui disaient la détresse d'un corps
Qui arrive à sa fin sans pouvoir esquiver.
Je te vois t'accrocher dans un ultime effort
Tu regagnes ton lit, ton supréme refuge
Tu t'effondres ,et attends le Grand Juge
Epuisée,résignée à accepter la mort.
Je pense que ta fin fut délivrance
Tu ne luttais plus,trop lasse de la vie
Plus d'espoir,tu n'avais plus d'envies
Tu avais besoin de longues vacances.
Tu as laisser la bougie s'assoupir
La flamme vacillante s'est éteinte à jamais
Elle arrete la torture qui te meurtrissait
Mon tout petit moineau,que tu as du souffrir
Dernière édition: