Seule, dans la pénombre de la nuit
Je voudrais te donner mes désirs, mes envies
Alors ferme les yeux et imagine un peu.
Nue, dans des draps soyeux
Je pense à toi
Et j'entend ta voix
Si douce, si belle, si gaie
Elle me rassure te me donne la paix
Mais ce soir, c'est autre chose que je veux
Un corps, ton corps audacieux
Celui dont tes mains me touchent
Me frôle délicatement la bouche
Tes doigts d'une douceur esquise
Posés habilement sur mon coeur que tu incises
Tes tendres caresses me font plus que craquer
Mais je ne peux te dire d'arrêter
J'aimerais tant te guider
Mais pas la peine, tu sais où aller
Je te voudrais en moi sans attendre
Mais stop tu me fais comprendre
Qu'il faut savoir patienter
Afin de pouvoir goûter
A cet instant si subtile
Que tous deux voulons unique.
Tout paraît tellement magique
Et tout me rend si fragile,
Tes baisers me font perdre la tête
Ton souffle sur ma peau est une fête
Mon coeur bat si vite
Mon corps doucement s'anime
Sous tes caresses qui descendent enfin
Sur cette boule qui me fait du bien
Et mon âme chavire
Car tu me fais souffrir
De ne vouloir venir
Où désir et plaisir
Ne font plus qu'un.
Tous ces mots doux que tu chuchotes
M'enivrent et me confortent
Dans cette sensation dont j'ai faim
Assouvit mon besoin
Viens donc dans ce vagin
Que je t'offre avec pudeur
Et beaucoup de bonheur
Enfin toi et moi unit
Dans un corps à corps où je gémis
Et où tu me délivres
De cette envie qu'à nouveau je veux revivre
Plus tard encore et encore
Toujours de plus en plus fort...
Je voudrais te donner mes désirs, mes envies
Alors ferme les yeux et imagine un peu.
Nue, dans des draps soyeux
Je pense à toi
Et j'entend ta voix
Si douce, si belle, si gaie
Elle me rassure te me donne la paix
Mais ce soir, c'est autre chose que je veux
Un corps, ton corps audacieux
Celui dont tes mains me touchent
Me frôle délicatement la bouche
Tes doigts d'une douceur esquise
Posés habilement sur mon coeur que tu incises
Tes tendres caresses me font plus que craquer
Mais je ne peux te dire d'arrêter
J'aimerais tant te guider
Mais pas la peine, tu sais où aller
Je te voudrais en moi sans attendre
Mais stop tu me fais comprendre
Qu'il faut savoir patienter
Afin de pouvoir goûter
A cet instant si subtile
Que tous deux voulons unique.
Tout paraît tellement magique
Et tout me rend si fragile,
Tes baisers me font perdre la tête
Ton souffle sur ma peau est une fête
Mon coeur bat si vite
Mon corps doucement s'anime
Sous tes caresses qui descendent enfin
Sur cette boule qui me fait du bien
Et mon âme chavire
Car tu me fais souffrir
De ne vouloir venir
Où désir et plaisir
Ne font plus qu'un.
Tous ces mots doux que tu chuchotes
M'enivrent et me confortent
Dans cette sensation dont j'ai faim
Assouvit mon besoin
Viens donc dans ce vagin
Que je t'offre avec pudeur
Et beaucoup de bonheur
Enfin toi et moi unit
Dans un corps à corps où je gémis
Et où tu me délivres
De cette envie qu'à nouveau je veux revivre
Plus tard encore et encore
Toujours de plus en plus fort...
