Le 29 mai 2011
J’aimerais trouver une épaule chaude pour pleurer
Comme quand j’étais petit, quand j’étais tombé :
« Plus de peur que de mal » mais les larmes coulaient,
J’aimerais trouver une épaule chaude pour pleurer,
Un corps chaud dans lequel je me blottis,
Les larmes déraisonnent, et
J’ai l’envie de ces cris :
J’aimerais trouver une épaule chaude pour pleurer.
Vous souvenez –vous de vous ?
Quant un gros chagrin épancher
Donnait au soleil un rendez-vous ?
Vous souvenez vous de vous lâchant prise,
Grandes eaux et barrages, de cette période
Où vous ne craigniez pas les dommages ?
Vous souvenez vous (d’il y a longtemps)
Lorsque vous ne craigniez encore pas une quelconque gente violente
Et, lors de petits ravages, couliez dans des bras qui vous écoutaient ?
Trimarans dans le noir, grands hommes esseulés
Trimant dans le fond de leur propres obscurités,
Ouvrez la fenêtre !...Sur l’AUTRE,
Parlez pour mieux trouver nos lumières, s’éloigner de l’éphémère !
Il faut laisser un peu de soi s’en aller
Comme un enfant inconsolé
Comme un enfant perdu, livrer
A cet immense monde où il a peine pieds.
Il faut laisser de nous même nos masques tomber, les laisser
Pour quelques heures, minutes ou quelques larmes, laisser
De nous même tout apparat. Qu’apparaissent les mômes,
Les sourires et que soit partager, pour quelques instants T le pain de _l’amitié.
C’est un désir, peut –être une vanité,
C’est mon désir pour l’humanité.
J’aimerais trouver une épaule chaude pour pleurer,
Éponger mon cœur d’un chagrin négliger,
Avoir un droit d’enfance et quelqu’un pour écouter,
J’aimerais trouver une épaule chaude pour pleurer.
J’aimerais trouver une épaule chaude pour pleurer
Comme quand j’étais petit, quand j’étais tombé :
« Plus de peur que de mal » mais les larmes coulaient,
J’aimerais trouver une épaule chaude pour pleurer,
Un corps chaud dans lequel je me blottis,
Les larmes déraisonnent, et
J’ai l’envie de ces cris :
J’aimerais trouver une épaule chaude pour pleurer.
Vous souvenez –vous de vous ?
Quant un gros chagrin épancher
Donnait au soleil un rendez-vous ?
Vous souvenez vous de vous lâchant prise,
Grandes eaux et barrages, de cette période
Où vous ne craigniez pas les dommages ?
Vous souvenez vous (d’il y a longtemps)
Lorsque vous ne craigniez encore pas une quelconque gente violente
Et, lors de petits ravages, couliez dans des bras qui vous écoutaient ?
Trimarans dans le noir, grands hommes esseulés
Trimant dans le fond de leur propres obscurités,
Ouvrez la fenêtre !...Sur l’AUTRE,
Parlez pour mieux trouver nos lumières, s’éloigner de l’éphémère !
Il faut laisser un peu de soi s’en aller
Comme un enfant inconsolé
Comme un enfant perdu, livrer
A cet immense monde où il a peine pieds.
Il faut laisser de nous même nos masques tomber, les laisser
Pour quelques heures, minutes ou quelques larmes, laisser
De nous même tout apparat. Qu’apparaissent les mômes,
Les sourires et que soit partager, pour quelques instants T le pain de _l’amitié.
C’est un désir, peut –être une vanité,
C’est mon désir pour l’humanité.
J’aimerais trouver une épaule chaude pour pleurer,
Éponger mon cœur d’un chagrin négliger,
Avoir un droit d’enfance et quelqu’un pour écouter,
J’aimerais trouver une épaule chaude pour pleurer.