DORS
Toi qui ne connais pas l'amour,
Tu peux te le permettre: dors.
Va, mon amour et mon chagrin
Sont notre bien à tous, toi dors.
Gardes tes yeux à poing fermés,
Profites de ce monde de satin,
Doucement, tu t'évades, tu cours,
A travers ce rêve mérité.
Chagrin de l'amant: un soleil,
Nous patticules, particules.
Tois qui n'as pas vu dans ton coeur
S'élever ce désir, toi dors.
Acceptes ce repos comme merveille,
Tu ne seras point ridicule,
Puis montera en toi, cette chaleur,
Alors écoutes cette voix puis dors.
En chechant à m'unir à toi,
Je m'écoule comme de l'eau.
Toi qui n'as pas cette chaleur
Du "Mais oú est tu donc?" toi dors.
Tu as l'air souriant! Pourquoi?
Est-ce ce doux frisson dans ton dos,
Qui te procure tant de bonheur?
Non c'est ce soleil, alors dors!
Le chagrin a close mon sommeil,
Alors va-t'en, toi le jeune homme,
Car si le sommeil est passé,
On peut le rattraper, toi dors.
Sur ces mots dits, tu restes en veil,
Prolongeant ce songe heureux, comme,
Une louve le fait pour sa portée,
Car l'espoir est infinie. Dors!
Tombés dans la main de l'amour,
Mais que va-t-il faire de nous?
Toi, tenu dans ta propre main,
Mets-toi sur ta main droite et dors.
Toi qui ne connais pas l'amour,
Tu peux te le permettre: dors.
Va, mon amour et mon chagrin
Sont notre bien à tous, toi dors.
Gardes tes yeux à poing fermés,
Profites de ce monde de satin,
Doucement, tu t'évades, tu cours,
A travers ce rêve mérité.
Chagrin de l'amant: un soleil,
Nous patticules, particules.
Tois qui n'as pas vu dans ton coeur
S'élever ce désir, toi dors.
Acceptes ce repos comme merveille,
Tu ne seras point ridicule,
Puis montera en toi, cette chaleur,
Alors écoutes cette voix puis dors.
En chechant à m'unir à toi,
Je m'écoule comme de l'eau.
Toi qui n'as pas cette chaleur
Du "Mais oú est tu donc?" toi dors.
Tu as l'air souriant! Pourquoi?
Est-ce ce doux frisson dans ton dos,
Qui te procure tant de bonheur?
Non c'est ce soleil, alors dors!
Le chagrin a close mon sommeil,
Alors va-t'en, toi le jeune homme,
Car si le sommeil est passé,
On peut le rattraper, toi dors.
Sur ces mots dits, tu restes en veil,
Prolongeant ce songe heureux, comme,
Une louve le fait pour sa portée,
Car l'espoir est infinie. Dors!
Tombés dans la main de l'amour,
Mais que va-t-il faire de nous?
Toi, tenu dans ta propre main,
Mets-toi sur ta main droite et dors.
Dadi
Ludovic izambard
Ludovic izambard