Toi , le conscient de l'inconscient , de l' intérieur for
Toi, dont le coeur de la mére imaginaire s'éprend
Ote le voile brun de ton visage long , encore , ôte encore
Descends le store !
L' ombre tapie masquée d' un carré blanc de lingerie fine
S'approche d'une voix, deux .. plus prés, plus encore
Senteur jasmin grenadine ,Senteur musk de la popeline
Devine , ton sort !
Une bouche t' effleure , prémices d'ébats annoncés
Premier baiser sur ta pensée, posé sur le ravin de ta poitrine
Une échappée mutine pour saisir la fleur du bosquée
Doux promeneur.. Donne l' ardeur fertilisante à la colline
Chevauche l' intime !
Roule ,déplie jusqu'en bas..le bas de soie d'un doigt coquin
Défroisse , place ,déplace la vague radieuse du point
L'épi armé trouve vigueur , la receveuse fait l'éventail
Sa cambrure, ondule , le portail flotte ,s'ouvre sous la digitale
Livre bataille!
Meuds toi en ce chaud et froid tourbillon ma douceur
L'agonie lente , monte ,descend dans nos moiteurs
Quand ton coeur dans mes yeux me touche , ta main
Ton cou cerclés d' une boucle , jambes à l'humble dessein .
Un doux remous peu farouche scelle nos bouches
Vers le lit des seins peu hautains ,qui se raidissent de câlins
Baise les reins !
C'est le meli , c'est le melo , roulent les corps, entrebaillés
Où donc es tu .. Toi l' inconscient , à nu ,les envies, tu mets
A en faire perdre nos raisons , tu regorges en mots puissants
Tu t'agites derriére l'écran , Tu imagines le satin blanc
" En moi tu meurs , en toi je vis ,aimer à loisir, à mourir"
.Le semeur de désirs fait que s'envole le carré blanc
Un ciel effarouché.... Quelle entreprise que d'être amant
Où frémit l'éternelle chaleur de l'Amour magnifiscent
Enivre toi ardemment !
Bertrand : Promesse tenue !!!!
Toi, dont le coeur de la mére imaginaire s'éprend
Ote le voile brun de ton visage long , encore , ôte encore
Descends le store !
L' ombre tapie masquée d' un carré blanc de lingerie fine
S'approche d'une voix, deux .. plus prés, plus encore
Senteur jasmin grenadine ,Senteur musk de la popeline
Devine , ton sort !
Une bouche t' effleure , prémices d'ébats annoncés
Premier baiser sur ta pensée, posé sur le ravin de ta poitrine
Une échappée mutine pour saisir la fleur du bosquée
Doux promeneur.. Donne l' ardeur fertilisante à la colline
Chevauche l' intime !
Roule ,déplie jusqu'en bas..le bas de soie d'un doigt coquin
Défroisse , place ,déplace la vague radieuse du point
L'épi armé trouve vigueur , la receveuse fait l'éventail
Sa cambrure, ondule , le portail flotte ,s'ouvre sous la digitale
Livre bataille!
Meuds toi en ce chaud et froid tourbillon ma douceur
L'agonie lente , monte ,descend dans nos moiteurs
Quand ton coeur dans mes yeux me touche , ta main
Ton cou cerclés d' une boucle , jambes à l'humble dessein .
Un doux remous peu farouche scelle nos bouches
Vers le lit des seins peu hautains ,qui se raidissent de câlins
Baise les reins !
C'est le meli , c'est le melo , roulent les corps, entrebaillés
Où donc es tu .. Toi l' inconscient , à nu ,les envies, tu mets
A en faire perdre nos raisons , tu regorges en mots puissants
Tu t'agites derriére l'écran , Tu imagines le satin blanc
" En moi tu meurs , en toi je vis ,aimer à loisir, à mourir"
.Le semeur de désirs fait que s'envole le carré blanc
Un ciel effarouché.... Quelle entreprise que d'être amant
Où frémit l'éternelle chaleur de l'Amour magnifiscent
Enivre toi ardemment !
Bertrand : Promesse tenue !!!!