Distance
Le temps passe et souvent tu n’es pas prés de moi,
Mon cœur est ailleurs, mais je garde la foi
Hiver, printemps, été automne, inéluctablement sur le même ton
Les jours se ressemble comme les saisons
Le sol encore glacé ne serra bientôt qu’un tapis vert
Tu n’es toujours pas la, j ai déjà trop souffert
Les cris des enfants résonnent encore au loin,
Comme le son de cette cloche, qui me prend en témoin
Te ton absence acceptée, par mon esprit aliéné
Dehors, la rivière est sortie de son lit,
Quelques larmes de trop ont suffit
A ne plus sentir l’odeur de ta peau
A ne plus me perdre dans les creux de tes os,
La distance me pèse, mais un simple souvenir
Me permet pourtant de m évader et m enfuir
Mon cœur est chargé, depuis tt ce temps déjà passé
Quelques blessures passagères n’ont pas su altérer
La force de cet amour, que l’on a cultivé.
Dehors, le soleil brille comme se reflet dans mes yeux
Bientôt on se voit, je suis heureux.
Nobru’z
Le temps passe et souvent tu n’es pas prés de moi,
Mon cœur est ailleurs, mais je garde la foi
Hiver, printemps, été automne, inéluctablement sur le même ton
Les jours se ressemble comme les saisons
Le sol encore glacé ne serra bientôt qu’un tapis vert
Tu n’es toujours pas la, j ai déjà trop souffert
Les cris des enfants résonnent encore au loin,
Comme le son de cette cloche, qui me prend en témoin
Te ton absence acceptée, par mon esprit aliéné
Dehors, la rivière est sortie de son lit,
Quelques larmes de trop ont suffit
A ne plus sentir l’odeur de ta peau
A ne plus me perdre dans les creux de tes os,
La distance me pèse, mais un simple souvenir
Me permet pourtant de m évader et m enfuir
Mon cœur est chargé, depuis tt ce temps déjà passé
Quelques blessures passagères n’ont pas su altérer
La force de cet amour, que l’on a cultivé.
Dehors, le soleil brille comme se reflet dans mes yeux
Bientôt on se voit, je suis heureux.
Nobru’z