Je veux aller mal pour pouvoir te dire que je t'aime,
Je veux aller mal pour comprendre la peine.
Je vais bien et je récolte ce que je sème,
Je vais bien mais moi j'envie la haine.
Je ne souffre plus et c'est une douleur en moins,
Maintenant je vie avec cette joie factice,
Mais mon monde allait mieux quand tu l'avais dans la main.
Mais derrière mon sourire un fou se tisse.
J'avance en reculant, je ne suis plus sûr d'aller de l'avant,
À ton service depuis trop longtemps,
La nuit m'apporte ma solitude sur un plateau d'argent...
Ça y est j'ai mal de nouveau, sous ces lames qui transpercent ma peau,
On peut apercevoir le sang qui s'écoule de la plaie béante appelée tourmente.
Récoltant les larmes qui viennent de couler,
Dans un bocal remplit de perles lacrymales,
Je t'ai observé te décomposer,
Toi, mon ancienne joie animale.
Et j'ai mal à nouveau,
Et je souffre de trop,
Tu hantes mon jardin des ronces qui me lacèrent,
Te sustentant de toutes mes joies éphémères...
Je risque un œil là où l'on ne me voit pas,
Observant cet homme enfuit sous tes draps.
Je ne veux plus penser à ce que je viens de voir,
Pour moi c'est ici que doit finir notre histoire.
Sous cette lune traitresse pleine de mensonges et de peines,
J'ai toujours pensé que des salopes c'était toi leur reine.
Je veux aller mal pour comprendre la peine.
Je vais bien et je récolte ce que je sème,
Je vais bien mais moi j'envie la haine.
Je ne souffre plus et c'est une douleur en moins,
Maintenant je vie avec cette joie factice,
Mais mon monde allait mieux quand tu l'avais dans la main.
Mais derrière mon sourire un fou se tisse.
J'avance en reculant, je ne suis plus sûr d'aller de l'avant,
À ton service depuis trop longtemps,
La nuit m'apporte ma solitude sur un plateau d'argent...
Ça y est j'ai mal de nouveau, sous ces lames qui transpercent ma peau,
On peut apercevoir le sang qui s'écoule de la plaie béante appelée tourmente.
Récoltant les larmes qui viennent de couler,
Dans un bocal remplit de perles lacrymales,
Je t'ai observé te décomposer,
Toi, mon ancienne joie animale.
Et j'ai mal à nouveau,
Et je souffre de trop,
Tu hantes mon jardin des ronces qui me lacèrent,
Te sustentant de toutes mes joies éphémères...
Je risque un œil là où l'on ne me voit pas,
Observant cet homme enfuit sous tes draps.
Je ne veux plus penser à ce que je viens de voir,
Pour moi c'est ici que doit finir notre histoire.
Sous cette lune traitresse pleine de mensonges et de peines,
J'ai toujours pensé que des salopes c'était toi leur reine.