Tu cultivais les roses blanches de Corfou
Et tu m'aimais par-dessus tout.
Depuis longtemps tu es partie,
Cueillir des roses au paradis.
De ton absence, mon cœur est lourd.
J'ai tant besoin de ton amour,
De la tendresse de tes bras,
Chère petite grand-mère Lisa.
Toi, tu me manques à l'infini,
Comme le jour manque à la nuit.
Je voudrais seulement te dire
Que je garde en moi ton sourire,
Que je t'aime toujours aussi fort,
Malgré le temps, malgré la mort.
Dis,…
Est ce que tu entends…est ce que tu entends…
L'écho de ma voix portée par le vent.
********
Oui…
J'entends …j'entends ma chère enfant…
L'écho de ta voix portée par le vent.
Rien ne pourra nous séparer,
Nos cœurs sont à jamais liés
Par cet amour impérissable,
Ces souvenirs inoubliables.
Les vents déposent à ma porte
Ton doux parfum qui me transporte
Et la mélodie de ta voix
Parvient sans cesse jusqu'à moi.
Ni la mort, ni le temps qui passe
Ne sont une barrière tenace.
De là haut, je veille sur toi,
Je conduis chacun de tes pas.
Si tu savais comme je suis fière,
Ma Sandra, tu as tout pour plaire.
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai toujours…..
*******
Dans le flou neigeux des nuages,
Je vois s'esquisser ton visage
Et sur mon chagrin tu déposes,
Le parfum d'un bouquet de roses.
Et tu m'aimais par-dessus tout.
Depuis longtemps tu es partie,
Cueillir des roses au paradis.
De ton absence, mon cœur est lourd.
J'ai tant besoin de ton amour,
De la tendresse de tes bras,
Chère petite grand-mère Lisa.
Toi, tu me manques à l'infini,
Comme le jour manque à la nuit.
Je voudrais seulement te dire
Que je garde en moi ton sourire,
Que je t'aime toujours aussi fort,
Malgré le temps, malgré la mort.
Dis,…
Est ce que tu entends…est ce que tu entends…
L'écho de ma voix portée par le vent.
********
Oui…
J'entends …j'entends ma chère enfant…
L'écho de ta voix portée par le vent.
Rien ne pourra nous séparer,
Nos cœurs sont à jamais liés
Par cet amour impérissable,
Ces souvenirs inoubliables.
Les vents déposent à ma porte
Ton doux parfum qui me transporte
Et la mélodie de ta voix
Parvient sans cesse jusqu'à moi.
Ni la mort, ni le temps qui passe
Ne sont une barrière tenace.
De là haut, je veille sur toi,
Je conduis chacun de tes pas.
Si tu savais comme je suis fière,
Ma Sandra, tu as tout pour plaire.
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai toujours…..
*******
Dans le flou neigeux des nuages,
Je vois s'esquisser ton visage
Et sur mon chagrin tu déposes,
Le parfum d'un bouquet de roses.