Étincelante sylphide de mes rêves, sortez de cet océan de songes ; ô ma belle océadine. A l'heure de venir sur la plage de mon coeur. Une rose pourpre vous y attend. Respirez là ma jolie ondine.Vous ressentirez dedans toute mon essence. Au réveil vous qui futes la splendeur des mers où j'aie puisé mon bonheur ;Venez effeuiller mon poème comme l'aube dénude l'azur.
Dans la fleur du ciel est là votre bonheur. Qu'effeuille encore ce doux rêve, ma plume, d'une caresse, le plus fabuleux roman. Que je sus deviner par cet étincelant, Regard que vous cachâtes ; sous paupière brume ;
Quand la flamme de votre âme habitante, Sous ces brunes vallées sacrées d'ivoire saint,Qui couvrent vos yeux je devine un dessin,Qui se croque sur mon cœur ma belle pensante ;
Je reste rêveur, vos soupirs qui d'aise poussent, Pointe de ma confidentielle poésie, À vous déclamer ma joie ma tendre amie, Quand naît une nuit bénie que retiens mon pouce ;
Et mes doigts deviennent des plus rêveurs aux sons, Des lettres qui dansent sur une jolie feuille,
De vélin, quand facétieuse de rose feuil,Se part; entrant au bal des rimes de renoms ;
Dans la fleur du ciel est là votre bonheur. Qu'effeuille encore ce doux rêve, ma plume, d'une caresse, le plus fabuleux roman. Que je sus deviner par cet étincelant, Regard que vous cachâtes ; sous paupière brume ;
Quand la flamme de votre âme habitante, Sous ces brunes vallées sacrées d'ivoire saint,Qui couvrent vos yeux je devine un dessin,Qui se croque sur mon cœur ma belle pensante ;
Je reste rêveur, vos soupirs qui d'aise poussent, Pointe de ma confidentielle poésie, À vous déclamer ma joie ma tendre amie, Quand naît une nuit bénie que retiens mon pouce ;
Et mes doigts deviennent des plus rêveurs aux sons, Des lettres qui dansent sur une jolie feuille,
De vélin, quand facétieuse de rose feuil,Se part; entrant au bal des rimes de renoms ;
Amicalement
Gaby