Qu'y a-t-il de plus beau que les mots
Il y a toi, mon aimée angélique
Aucune pensée n'est de trop
Aucune note discordante, une douce musique.
Ton silence est un cri qu'encore j'entend
Parmi les silences de la vie qui se créent
Le regard de ta voix me pourfend
De ton pas doucement, de tes doigts de fée.
Tu me manques plus que tu penses
Tu déchires mon âme jusqu'au tréfond
Tu me manques d'une façon immense
Tu dilates mes veines quand je prononce ton nom.
Je me rappelle de ta présence à proximité
De nos expressions sans importance
On en riait à gorge déployée
Des mots répétés en drôle de cadence.
Comme il est amusant de s'attrister
Comme il est attristant de s'en amuser
Sur un souvenir du loin mais près passé
Comme un coup de vent, si vite dissipé.
Je sais qu'il faut oublier des choses
Des choses qui nous font du mal
À moins que les vraies source de leur cause
En soit un doux velour, une chaleur devenue infernale.
Il y a toi, mon aimée angélique
Aucune pensée n'est de trop
Aucune note discordante, une douce musique.
Ton silence est un cri qu'encore j'entend
Parmi les silences de la vie qui se créent
Le regard de ta voix me pourfend
De ton pas doucement, de tes doigts de fée.
Tu me manques plus que tu penses
Tu déchires mon âme jusqu'au tréfond
Tu me manques d'une façon immense
Tu dilates mes veines quand je prononce ton nom.
Je me rappelle de ta présence à proximité
De nos expressions sans importance
On en riait à gorge déployée
Des mots répétés en drôle de cadence.
Comme il est amusant de s'attrister
Comme il est attristant de s'en amuser
Sur un souvenir du loin mais près passé
Comme un coup de vent, si vite dissipé.
Je sais qu'il faut oublier des choses
Des choses qui nous font du mal
À moins que les vraies source de leur cause
En soit un doux velour, une chaleur devenue infernale.
