Des grandes âmes
Et personne ne nait grand mais il apprend à l’être
Seules les très bonnes âmes y sont bien disposées
Et quand sont compatibles et l’être et le paraitre
De très bonnes qualités nous sont bien exposées
On sent les maux de nos vies très vite disparaitre !
Seules les si Grandes âmes sont de tout capables :
Beaux gestes, et beaux discours, et beaux regards
On dirait qu’elles sortent de ces très vieilles fables
Elles respectent bien et accordent tous les égards
Elles n’abdiquent devant les manœuvres du diable
J’ai vu Grandes âmes pardonner toujours à Petites
On leur tend les pièges pour n’en faire des Grandes
Et elles s’en rendent compte mais restent cette élite
Embaumant toujours de leurs sympathies le monde
Rien du tout ne les enflamme, rien du tout ne les irrite
Cette terre sans le bon parfum de ces Grandes âmes
Est un jardin où les oiseaux ne chantent mais pleurent
Les petites sont là, elles se chamaillent et se blâment
Dans leur noire prison de désamour, elles demeurent
Mais là, dans les cimes les Grandes âmes se pâment !
Et personne ne nait grand mais il apprend à l’être
Seules les très bonnes âmes y sont bien disposées
Et quand sont compatibles et l’être et le paraitre
De très bonnes qualités nous sont bien exposées
On sent les maux de nos vies très vite disparaitre !
Seules les si Grandes âmes sont de tout capables :
Beaux gestes, et beaux discours, et beaux regards
On dirait qu’elles sortent de ces très vieilles fables
Elles respectent bien et accordent tous les égards
Elles n’abdiquent devant les manœuvres du diable
J’ai vu Grandes âmes pardonner toujours à Petites
On leur tend les pièges pour n’en faire des Grandes
Et elles s’en rendent compte mais restent cette élite
Embaumant toujours de leurs sympathies le monde
Rien du tout ne les enflamme, rien du tout ne les irrite
Cette terre sans le bon parfum de ces Grandes âmes
Est un jardin où les oiseaux ne chantent mais pleurent
Les petites sont là, elles se chamaillent et se blâment
Dans leur noire prison de désamour, elles demeurent
Mais là, dans les cimes les Grandes âmes se pâment !