Comme une maison qui soupir,
Je ne vois plus rien de plus
Que le bleu de tes yeux,
Je voudrais te tenir,
Te serre contre moi,
Je ne savais pas que tu étais
La personne que j’attendais,
Je ne vois rien de mieux,
Même le bleu des cieux,
Le blond de tes cheveux dorés,
Ne peuvent s’imaginer.
Embrasse-moi doucement,
Car mon cœur est la seule que je possède,
Dans tes yeux, tu as les miens,
Le long de tes frissons.
Tu es comme des notes de musique,
Qui font chanter mon cœur le long des nuits,
Quand tu mélanges tes lèvres à mes rêves,
Cherchant la raison.
Promets-moi l'amour,
Sous chacune de tes caresses,
Qu’elles soient la plus belle de tes promesses,
Un paradis où volent les mots en fleurs,
Parfumé par l’odeur de ton cœur,
Je n’appartiens plus à ce monde,
Même si tu devais me quitter un jour,
Que tu devais t'en aller.
Rien ne serait plus gris,
Pas même un ciel en pluie,
Sous les plus doux de tes souffles,
Courant dans le blond des blés.
Je ne vois rien de plus noir
Dans les profondeurs de la terre,
Même près de l'éternité
Le crie du néant me semblerait court,
Il serait le plus long des chagrins,
Tu es la prunelle de mes yeux,
Je ne vois rien de mieux,
Que le bleu des cieux,
Quand mes rêves m'apportent tes yeux,
Plus pur que le souffle,
Bien des mers en furies,
Ne pourront être aussi fortes
Que mon amour pour toi,
Je voudrais te serrer,
Me perdre, te retenir,
Pour un instant te toucher,
Crier de plaisir, sans jamais faillir.
L.Deléglise
Je ne vois plus rien de plus
Que le bleu de tes yeux,
Je voudrais te tenir,
Te serre contre moi,
Je ne savais pas que tu étais
La personne que j’attendais,
Je ne vois rien de mieux,
Même le bleu des cieux,
Le blond de tes cheveux dorés,
Ne peuvent s’imaginer.
Embrasse-moi doucement,
Car mon cœur est la seule que je possède,
Dans tes yeux, tu as les miens,
Le long de tes frissons.
Tu es comme des notes de musique,
Qui font chanter mon cœur le long des nuits,
Quand tu mélanges tes lèvres à mes rêves,
Cherchant la raison.
Promets-moi l'amour,
Sous chacune de tes caresses,
Qu’elles soient la plus belle de tes promesses,
Un paradis où volent les mots en fleurs,
Parfumé par l’odeur de ton cœur,
Je n’appartiens plus à ce monde,
Même si tu devais me quitter un jour,
Que tu devais t'en aller.
Rien ne serait plus gris,
Pas même un ciel en pluie,
Sous les plus doux de tes souffles,
Courant dans le blond des blés.
Je ne vois rien de plus noir
Dans les profondeurs de la terre,
Même près de l'éternité
Le crie du néant me semblerait court,
Il serait le plus long des chagrins,
Tu es la prunelle de mes yeux,
Je ne vois rien de mieux,
Que le bleu des cieux,
Quand mes rêves m'apportent tes yeux,
Plus pur que le souffle,
Bien des mers en furies,
Ne pourront être aussi fortes
Que mon amour pour toi,
Je voudrais te serrer,
Me perdre, te retenir,
Pour un instant te toucher,
Crier de plaisir, sans jamais faillir.
L.Deléglise
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