Depuis que tu m’as quitté,
Je ne suis plus que l’ombre de ma déception,
Je repense à ces jolis moments, à notre abandon,
A tout ce que nous aurions été
Si tu avais eu le courage de t’accrocher,
Si tu avais eu la folie des grandeurs,
Si tu n’avais eu la pression de nos pleurs,
Si nous avions finalement pu nous aimer.
Depuis ce temps, mon cœur, je me tais,
Je te regarde de loin, je te souris parfois,
Je te désire de loin, je t’ignore des fois.
Depuis lors, amoureusement, je te hais.
J’entends ton prénom et je souris,
J’entends ton prénom et je pleure,
J’entends ton prénom, douce douleur!
J’entends ton prénom et je cris.
Tu m’avais rendu si fort, si indestructible,
Plus puissant que je ne l’avais jamais voulu,
Plus heureux que je ne l’avais jamais cru.
Tu avais fait de moi le meilleur, l’invincible.
Tu as fait de moi l’être le plus futile,
Plus triste que je ne l’ai jamais cru,
Plus sentimental que je ne l’ai jamais voulu,
Tu m’as rendu si faible, si fragile.
Je cris ton nom dans le noir,
Ultime signe, ultime geste de désespoir.
Tu as voulu me lever mais tu m’as assommé,
Tu as voulu m’aimer mais tu m’as aimé.
Tu étais la fille dont j’ai toujours rêvé,
Peut-être même plus parfaite encore,
Mais, dans notre heureux oxymore,
Il n’y avait de place pour mon entité.
Nous avions une relation si exceptionnelle,
Une relation si parfaite, si belle,
Mais aujourd’hui, nous nous parlons à peine:
Aurais-je, en plus de ton cœur, eu l’abominable déveine
D’être éjaculé de ta vie elle-même?
Serais-je à ce point malchanceux
Pour perdre à la fois la charmante fille que j’aime
Et l’initiale amitié qui me rendit semblablement heureux?
Je ne suis plus que l’ombre de ma déception,
Je repense à ces jolis moments, à notre abandon,
A tout ce que nous aurions été
Si tu avais eu le courage de t’accrocher,
Si tu avais eu la folie des grandeurs,
Si tu n’avais eu la pression de nos pleurs,
Si nous avions finalement pu nous aimer.
Depuis ce temps, mon cœur, je me tais,
Je te regarde de loin, je te souris parfois,
Je te désire de loin, je t’ignore des fois.
Depuis lors, amoureusement, je te hais.
J’entends ton prénom et je souris,
J’entends ton prénom et je pleure,
J’entends ton prénom, douce douleur!
J’entends ton prénom et je cris.
Tu m’avais rendu si fort, si indestructible,
Plus puissant que je ne l’avais jamais voulu,
Plus heureux que je ne l’avais jamais cru.
Tu avais fait de moi le meilleur, l’invincible.
Tu as fait de moi l’être le plus futile,
Plus triste que je ne l’ai jamais cru,
Plus sentimental que je ne l’ai jamais voulu,
Tu m’as rendu si faible, si fragile.
Je cris ton nom dans le noir,
Ultime signe, ultime geste de désespoir.
Tu as voulu me lever mais tu m’as assommé,
Tu as voulu m’aimer mais tu m’as aimé.
Tu étais la fille dont j’ai toujours rêvé,
Peut-être même plus parfaite encore,
Mais, dans notre heureux oxymore,
Il n’y avait de place pour mon entité.
Nous avions une relation si exceptionnelle,
Une relation si parfaite, si belle,
Mais aujourd’hui, nous nous parlons à peine:
Aurais-je, en plus de ton cœur, eu l’abominable déveine
D’être éjaculé de ta vie elle-même?
Serais-je à ce point malchanceux
Pour perdre à la fois la charmante fille que j’aime
Et l’initiale amitié qui me rendit semblablement heureux?