Demain un chemin
Je n’ai jamais touché de mon doigt ce rivage ;
Tout au plus ressenti, pour d’autres, leur chagrin
Si le mien est venu, je l’ai caché sans rage,
N’ayant connu ce pleur ; Et n’ai-je vu qu’un grain ?
La main que j’ai tendue, ignore d’avantage
Celui qui, sans un bruit, quitte un chemin serein
Tout en serrant mes doigts dans un dernier hommage :
Une larme essuyée à ce revers de main.
Je me souviens toujours, de ces très chers visages
En moi, sont enfouis leurs mots et leurs messages.
Sûr que je chanterai la vie en son pouvoir !
À la nuit, je peux voir le firmament d’étoiles
Que l’on dépeint parfois pour soulager ces voiles ;
Car je veux, par ces vers, vous offrir un espoir.
Je n’ai jamais touché de mon doigt ce rivage ;
Tout au plus ressenti, pour d’autres, leur chagrin
Si le mien est venu, je l’ai caché sans rage,
N’ayant connu ce pleur ; Et n’ai-je vu qu’un grain ?
La main que j’ai tendue, ignore d’avantage
Celui qui, sans un bruit, quitte un chemin serein
Tout en serrant mes doigts dans un dernier hommage :
Une larme essuyée à ce revers de main.
Je me souviens toujours, de ces très chers visages
En moi, sont enfouis leurs mots et leurs messages.
Sûr que je chanterai la vie en son pouvoir !
À la nuit, je peux voir le firmament d’étoiles
Que l’on dépeint parfois pour soulager ces voiles ;
Car je veux, par ces vers, vous offrir un espoir.