Dans le froid glacial de la nuit, Je reste là, assisse sur un banc, Face à la cruauté d'un monde, Que ne s'inquiète de personne, Regardant au loin les arbres, Je me rend compte que, Seul le silence à une grande vertu, D'écoute et de ressentit, Plongée au fond de mes pensé, Je réalise que je suis un pantin, Parmi tant d'autres dont, La vie aime joué. Submergée par la peur, Que le monde devienne, Un monde obscure et sans pitié, Que la première incartade soit punis, Mais au fond de moi, Peu importe que le monde, Devienne obscure ou pas, Car mon âme et si noir.
