Debout dans ma salle de bain,
Une lame de rasoir à la main,
J'ai tendu mon poignet devant moi
Et j'ai ouvert en pensant à toi.
Le sang se mit à couler,
Ma tête à tourner.
Je me laisse tomber par terre,
Comme je suis tombé
Devant cette amour éphémère.
Puis j'ai entendue une porte claquée,
Mon nom fut crié.
Tout à coup, je reconnu ta voix. . .
C'était bien toi!
Tu es entré,
M'as pris dans tes bras.
J'ai regretté,
Le geste qui vint avant toi.
Le sang continuais à ruisseler,
Tu ne savais que faire.
C'est quand j'ai dis "je t'aime. . . "
Mes dernier mots prononcés,
Que tu es redescendus sur terre.
Pour la première fois,
Tu as versé une larme pour moi.
Tu dis que si je devais partir,
Toi aussi tu allais en finir.
Mes yeux se sont fermés,
Pour rester clos à jamais.
Mon âme s'envolait. . .
Du haut de la pièce, je te regardais.
A ton tour, tu pris la lame
Pour rejoindre mon âme.
Tu as mêlé ton sang au mien,
Comme pour mêlé notre chemin.
Tu t'es allongé à mes côtés,
As enlacé mes doigts des tiens.
Tu dis: " on va se retrouver. . . "
Et ce fut la fin...
Une lame de rasoir à la main,
J'ai tendu mon poignet devant moi
Et j'ai ouvert en pensant à toi.
Le sang se mit à couler,
Ma tête à tourner.
Je me laisse tomber par terre,
Comme je suis tombé
Devant cette amour éphémère.
Puis j'ai entendue une porte claquée,
Mon nom fut crié.
Tout à coup, je reconnu ta voix. . .
C'était bien toi!
Tu es entré,
M'as pris dans tes bras.
J'ai regretté,
Le geste qui vint avant toi.
Le sang continuais à ruisseler,
Tu ne savais que faire.
C'est quand j'ai dis "je t'aime. . . "
Mes dernier mots prononcés,
Que tu es redescendus sur terre.
Pour la première fois,
Tu as versé une larme pour moi.
Tu dis que si je devais partir,
Toi aussi tu allais en finir.
Mes yeux se sont fermés,
Pour rester clos à jamais.
Mon âme s'envolait. . .
Du haut de la pièce, je te regardais.
A ton tour, tu pris la lame
Pour rejoindre mon âme.
Tu as mêlé ton sang au mien,
Comme pour mêlé notre chemin.
Tu t'es allongé à mes côtés,
As enlacé mes doigts des tiens.
Tu dis: " on va se retrouver. . . "
Et ce fut la fin...