Danses improbables pour le bal des débs,
Faire un écrit dense sans à voir la contredanse,
Après cette soirée, j’voyais des rats partout, j’étais bourré,
Des flics faisant leur ronde, croyait à une offense,
A faire valser les papillons en l’air des tourbillons accélérés.
Quelle java dans le quartier de saint Roch, c’n’était pas une gavotte,
Un ballet de chiens en tutu sur des pointes s’animait sur un fox-trot,
Faisant des cabrioles sur une mazurka pour le scrabble, ça m’botte,
Les félidés citadins dansaient la carmagnole en entrechats, sans trop.
Après une polka, laissons les faire un quadrille,
Ou un slow, un boléro pour un peu plus de repos,
Mais dans tous les cas dansons pour l’amour des filles,
Mais fini la farandole, laissons la place au beau tango.
J’aurai pu vous narrer du comté les danses niçoises,
Le cepoun, la moresca ou le brandi pour des réunions,
Avec une scottish, la monferrina bien moins bourgeoise,
En se rapprochant de l’Italie avec la stacada d’Breï en union.
Changement d’air, c’est la suite
Et comme le disait si bien la dame, mot,
Juliette, accorde moi cette danse,
Je suis saoul, sous ton balcon, comme Roméo
Je tangue, go ! C’n’est pas mon jour de chance.
Pas à pas, comme disait papa
En avant, sur le coté, en arrière,
Qu’est-ce que ce sirtaki, pas samba,
Mais ne jamais se mettre par derrière.
Bien, mais Charles, est-ce ton tour,
L’endiablé de nos jeunes automnes,
Dans l’Amérique où tu faisais un four,
Tu étais le dieu, oui, je déconne !
C’est à elle que je te donne ma flamme et go,
Aujourd’hui, finie, ma vie de disciple,
Pour entrer avec toi dans ce flamenco,
Ensemble entrons dans un nouveau périple.
Faire un écrit dense sans à voir la contredanse,
Après cette soirée, j’voyais des rats partout, j’étais bourré,
Des flics faisant leur ronde, croyait à une offense,
A faire valser les papillons en l’air des tourbillons accélérés.
Quelle java dans le quartier de saint Roch, c’n’était pas une gavotte,
Un ballet de chiens en tutu sur des pointes s’animait sur un fox-trot,
Faisant des cabrioles sur une mazurka pour le scrabble, ça m’botte,
Les félidés citadins dansaient la carmagnole en entrechats, sans trop.
Après une polka, laissons les faire un quadrille,
Ou un slow, un boléro pour un peu plus de repos,
Mais dans tous les cas dansons pour l’amour des filles,
Mais fini la farandole, laissons la place au beau tango.
J’aurai pu vous narrer du comté les danses niçoises,
Le cepoun, la moresca ou le brandi pour des réunions,
Avec une scottish, la monferrina bien moins bourgeoise,
En se rapprochant de l’Italie avec la stacada d’Breï en union.
Changement d’air, c’est la suite
Et comme le disait si bien la dame, mot,
Juliette, accorde moi cette danse,
Je suis saoul, sous ton balcon, comme Roméo
Je tangue, go ! C’n’est pas mon jour de chance.
Pas à pas, comme disait papa
En avant, sur le coté, en arrière,
Qu’est-ce que ce sirtaki, pas samba,
Mais ne jamais se mettre par derrière.
Bien, mais Charles, est-ce ton tour,
L’endiablé de nos jeunes automnes,
Dans l’Amérique où tu faisais un four,
Tu étais le dieu, oui, je déconne !
C’est à elle que je te donne ma flamme et go,
Aujourd’hui, finie, ma vie de disciple,
Pour entrer avec toi dans ce flamenco,
Ensemble entrons dans un nouveau périple.