Dans la paume de sa main
Il a tout l’univers,
Le tien, le mien
Qui tourne à l’envers,
Dans la paume de sa main,
Quand il ouvre ses yeux,
Deux lacs céruléens,
Si grands si bleus
Qui brillent au p’tit matin,
Quand il me sourit
Malgré ses peines
Et qu’il nous dit
Je t’aime à perdre haleine.
Il a tout l’univers,
Le tien, le mien
Qui tourne à l’envers
dans la paume se sa main.
Quand il chantonne
Et rêve les yeux ouverts
Et qu’il pardonne
Toutes nos colères,
Parce qu’il sait bien
La peine dans notre cœur
Quand il respire en vain
Pendant des heures.
Il a tout l’univers,
Le tien,le mien,
Qui tourne à l’envers
Dans la paume de sa main.
Il est mon ange, mon soleil,
ma lumière dans le noir,
Mon papillon pareil
A l’arc en ciel du soir.
Je voudrais lui donner
Plus que l’espoir
Bannir la noire réalité,
Ne plus avoir besoin d’y croire
Il a tout l’univers,
Le tien, le mien
Qui tourne à l’envers,
Dans la paume de sa main,
Quand il ouvre ses yeux,
Deux lacs céruléens,
Si grands si bleus
Qui brillent au p’tit matin,
Quand il me sourit
Malgré ses peines
Et qu’il nous dit
Je t’aime à perdre haleine.
Il a tout l’univers,
Le tien, le mien
Qui tourne à l’envers
dans la paume se sa main.
Quand il chantonne
Et rêve les yeux ouverts
Et qu’il pardonne
Toutes nos colères,
Parce qu’il sait bien
La peine dans notre cœur
Quand il respire en vain
Pendant des heures.
Il a tout l’univers,
Le tien,le mien,
Qui tourne à l’envers
Dans la paume de sa main.
Il est mon ange, mon soleil,
ma lumière dans le noir,
Mon papillon pareil
A l’arc en ciel du soir.
Je voudrais lui donner
Plus que l’espoir
Bannir la noire réalité,
Ne plus avoir besoin d’y croire
Il a tout l’univers,
Le tien, le mien
Qui tourne à l’envers
Dans la paume de sa main.
Qui tourne à l’envers
Dans la paume de sa main.
Je voudrais lui offrir
Plus que des lendemains,
Une famille à chérir,
Un enfant pour lui tenir la main
Qu’il grandisse et devienne vieux
Et qu’une longue vie défile
Ses souvenirs heureux
Avant de s’en aller tranquille.
Il aura peut être un jour
Dix ans, vingt ans
puis ce sera mon tour
de n’être plus maman
Quand mon soleil doucement s'éteint
Mes rêves se meurent
Et je verse mes pleurs,
Dans la paume de sa main
Plus que des lendemains,
Une famille à chérir,
Un enfant pour lui tenir la main
Qu’il grandisse et devienne vieux
Et qu’une longue vie défile
Ses souvenirs heureux
Avant de s’en aller tranquille.
Il aura peut être un jour
Dix ans, vingt ans
puis ce sera mon tour
de n’être plus maman
Quand mon soleil doucement s'éteint
Mes rêves se meurent
Et je verse mes pleurs,
Dans la paume de sa main
Dernière édition par un modérateur: