DALIDA
Ce mois-ci tu avais mis fin à ta vie
Un trois mai
Tu étais pour nous les femmes l’amie
Et pour les hommes combien t’ont-ils rêvé ?
Tu incarnais le charme et l’élégance
Le raffinement, la classe
Tu habitais la Corse, la France
Mais un jour tu fus lasse
Tant d’années se sont écoulées
Et l’on pense toujours à toi
Même si tu fus une femme brisée
Tu ne le montrais pas
Tu as montré qu’être une dame
Qu’il fallait accepter excuser et pardonner
Que l’on peut être femme
Sans pour cela se laisser aller
Tu as donné des leçons de vie
Et c’est l’intelligence du cœur que tu regardais
Tout le monde pouvait être ton ami
Mais par moment il fallait s’oublier
Oh Dali, personne ne t’oubliera
Les hommes, les femmes t’aimeront toujours
Tu avais une véritable aura
Celui que l’on surnomme l’amour
texte protégé YR
Ce mois-ci tu avais mis fin à ta vie
Un trois mai
Tu étais pour nous les femmes l’amie
Et pour les hommes combien t’ont-ils rêvé ?
Tu incarnais le charme et l’élégance
Le raffinement, la classe
Tu habitais la Corse, la France
Mais un jour tu fus lasse
Tant d’années se sont écoulées
Et l’on pense toujours à toi
Même si tu fus une femme brisée
Tu ne le montrais pas
Tu as montré qu’être une dame
Qu’il fallait accepter excuser et pardonner
Que l’on peut être femme
Sans pour cela se laisser aller
Tu as donné des leçons de vie
Et c’est l’intelligence du cœur que tu regardais
Tout le monde pouvait être ton ami
Mais par moment il fallait s’oublier
Oh Dali, personne ne t’oubliera
Les hommes, les femmes t’aimeront toujours
Tu avais une véritable aura
Celui que l’on surnomme l’amour
texte protégé YR