Je n’exige rien de ces suites qui déciment,
Où solitaire ici, comme un cœur qui palpite,
Las… à se pâmer où les nuages dessinent
De cette exposition de couleurs qui crépitent.
Le coucher du soleil -d’une sombre blancheur,-
Montent dans ma gorge, les heurts de sa splendeur ;
Je contemple d’un songe et me noie dans mes rêves…
Etre tien, -être là,- D’un rayon qui se lève !
Et quand de la brise fraîche qui se retire,
Tout comme les vagues du pacifique aimant,
Illumine mon cœur ; établit ton empire.
Ô mon Dieu ! ce clément spectacle captivant !
Du souvenir, j’ai vu !... Mais rien d’autre que ça !
Le tableau du soleil, comme un cœur qui palpite,
Etre tien ! –être là,- et guide tous mes pas,
De cette exposition de couleurs qui crépitent.
Où solitaire ici, comme un cœur qui palpite,
Las… à se pâmer où les nuages dessinent
De cette exposition de couleurs qui crépitent.
Le coucher du soleil -d’une sombre blancheur,-
Montent dans ma gorge, les heurts de sa splendeur ;
Je contemple d’un songe et me noie dans mes rêves…
Etre tien, -être là,- D’un rayon qui se lève !
Et quand de la brise fraîche qui se retire,
Tout comme les vagues du pacifique aimant,
Illumine mon cœur ; établit ton empire.
Ô mon Dieu ! ce clément spectacle captivant !
Du souvenir, j’ai vu !... Mais rien d’autre que ça !
Le tableau du soleil, comme un cœur qui palpite,
Etre tien ! –être là,- et guide tous mes pas,
De cette exposition de couleurs qui crépitent.
Dernière édition: