Doutes captieux qui compriment la poitrine,
Les pensées m'étouffent, me détruisent, m'abîment.
Je souhaiterais regagner le haut des cimes.
Mes ailes se cassent; rudement, je m'incline.
Oppressées par le poids complexe de l'esprit,
Elles s'échouent sur le sol lamentablement
Suscitant les puissants et âpres hurlements
D'un corps lamentable qui doucement pourri.
Les chaires se détachent des os décrépis
Permettant aux blanches plumes de s'envoler
Vers un azur inatteignable et oublié.
Au loin, résonnent les cris amers des harpies.
Mon âme se perd, pénètre dans la folie
D'un monde aux ombres étincelantes, fuyantes.
Sons d'épouvante, frayeur, mouvements qui chantent.
Les troncs dansent, squelettes de mélancolie.
Dans ma cage thoracique, mon cœur se tord,
Battant, haletant sous mes côtes desséchées.
Désespérément, mon cœur cherche à s'évader
De cette cellule d'ossements et de mort.
Les pensées m'étouffent, me détruisent, m'abîment.
Je souhaiterais regagner le haut des cimes.
Mes ailes se cassent; rudement, je m'incline.
Oppressées par le poids complexe de l'esprit,
Elles s'échouent sur le sol lamentablement
Suscitant les puissants et âpres hurlements
D'un corps lamentable qui doucement pourri.
Les chaires se détachent des os décrépis
Permettant aux blanches plumes de s'envoler
Vers un azur inatteignable et oublié.
Au loin, résonnent les cris amers des harpies.
Mon âme se perd, pénètre dans la folie
D'un monde aux ombres étincelantes, fuyantes.
Sons d'épouvante, frayeur, mouvements qui chantent.
Les troncs dansent, squelettes de mélancolie.
Dans ma cage thoracique, mon cœur se tord,
Battant, haletant sous mes côtes desséchées.
Désespérément, mon cœur cherche à s'évader
De cette cellule d'ossements et de mort.