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déférence

koold

Maître Poète
#1

La conscience ne s'achète pas elle se paie comme l'ignorance la souffrance ou la jouvence dans l'arc de ma conscience j'ai tendu la corde aiguisé ma flèche avec mes émotions le cœur étant la cible de ma déférence envers mon corps l'esprit tenace l'amour en laisse j'ai quittais mon quidam pour baptiser mon âme révolter de tout ses sarcasme inhérent loin de moi l'idée d'affirmé des vérité je les creuse dans leur écueil pour mieux les savourer j'ai planter mes racines comme un arbre dans la terre pour les protéger de toute vociférations chaque mots posé est doué de sens apposé à l'art du triomphe ma gorge froide ne serais me les dictée alors je fait appel à mon inconscience qui veut bien prêter sa main pour écrire son passé à venir dans la nostalgie vagabonde j'inonde de torpeur les volatiles qui font la course aux renversement ma pensé dérape un peu laisser moi vous l'accordé mais jamais elle ne frise l'accident car elle connaît le code de la route de mon cerveau pourquoi vous flattez en vous dictant ma pensé un peu éhonté qui bave sur la beauté et réprime la fierté à demi mériter dans le lit de mon cauchemar j'ai éteint la lumière et attendu le soleil pour trouver enfin l'éveil après avoir bu le sirop de mes mots j'ai ouvert la fenêtre au vent phrasé qui ma comté les saison de mon être qui semble vouloir disparaître