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Coup de gueule

MysTerre

Maître Poète
#62
Horreur.jpg
Vous mangez de l'hypertension, du stress et de l'adrénaline.
Vous mangez de la colère, de la panique et de la crainte.
Vous mangez de la souffrance, l'horreur et le meurtre.
Vous mangez la cruauté.Vous mangez des cadavres.
La solution,pour votre bien être et celui des animaux:
Devenez végétarien
 

MysTerre

Maître Poète
#63
"Oui, j’avais 6 ans et demi et ma petite sœur 3 quand nos parents ont décidé de nous faire assister à cette horreur lors de vacances en Espagne, en Juillet 1979.
Ce que j’ai vu et entendu ce jour-là m’a laissé des traces à vie. J’ai encore, plus de 30 ans après, des images très précises en tête : La vision de cette foule hystérique, visages en sueur, déformés par la jouissance de voir le taureau souffrir.
L’odeur infâme de la sueur du gros homme qui me collait dans les gradins, cet homme ivre et rouge qui hurlait et me poussait...la vision du taureau paralysé qui n’arrivait pas à mourir et qui vomissait son sang noirâtre.
Je l’entendais beugler de souffrance malgré cette musique tonitruante. Il beuglait et ses dents blanches étaient maculées de sang....jamais je n’oublierai.
Le taureau était encore vivant quand son oreille fut tranchée. De ses yeux coulaient de grosses larmes blanchâtres. Ses yeux roulaient comme des billes, sa tête et son museau tremblaient et son pauvre gros corps martyrisé, tout piqué de banderilles était parfois pris de spasmes.
Le tranchage de son oreille m’a semblé durer une éternité. C’est qu’il est dur de trancher dans le cartilage à mon avis. La pauvre bête, à bout, s’était agenouillée presque contre le rebord de l’arène, comme pour trouver un ultime refuge. Étant assise devant, j’ai vu cette abomination à moins de 2 mètres de moi.
Le visage du torero était tellement cruel pendant qu’il découpaient les chairs de cet animal innocent.....il tranchait de toutes ses forces, littéralement arque-bouté sur son couteau. Puis il a brandi l’oreille à la foule. Hurlements de joie. Hystérie complète.
Presque tout le monde était debout à ce moment-là. Enfin, on attela le pauvre taureau et il fût tiré sur ses plaies par des chevaux. Je voyais bien qu’il était encore vivant. Il haletait, ses yeux étaient ouverts et ses naseaux, d’où s’échappait un sang presque noir, tremblaient.
Je voyais ses larmes couler encore. Je pouvais l’entendre mugir de douleur malgré le volume de la musique, cette ignoble musique de fanfare qui se veut annonciatrice de joie ! cette musique restera pour moi la musique de la mort.
Je vacillais en sortant de l’arène, en larmes. Les autres, tous les autres à part moi, avaient l’air tellement ravis. Oui, ils avaient l’air repus et heureux.
Certains mangeaient même des hot dog. Jamais je n’ai compris et jamais je ne comprendrai. Quel crime avait commis cet animal pour que des hommes se permettent de le torturer de la sorte ? aucun.

Il était l’innocence. Que de souffrances ! que de sang !
POURQUOI ? Je le sais : toute l’horreur de l’humanité était bien là, ce jour-là, dans l’arène, devant mes yeux effarés d’enfant de 6 ans." ____ Eloïse Séguineau
horreur texte.jpg
 

Voile bleu

Maître Poète
#64
1000
"Oui, j’avais 6 ans et demi et ma petite sœur 3 quand nos parents ont décidé de nous faire assister à cette horreur lors de vacances en Espagne, en Juillet 1979.
Ce que j’ai vu et entendu ce jour-là m’a laissé des traces à vie. J’ai encore, plus de 30 ans après, des images très précises en tête : La vision de cette foule hystérique, visages en sueur, déformés par la jouissance de voir le taureau souffrir.
L’odeur infâme de la sueur du gros homme qui me collait dans les gradins, cet homme ivre et rouge qui hurlait et me poussait...la vision du taureau paralysé qui n’arrivait pas à mourir et qui vomissait son sang noirâtre.
Je l’entendais beugler de souffrance malgré cette musique tonitruante. Il beuglait et ses dents blanches étaient maculées de sang....jamais je n’oublierai.
Le taureau était encore vivant quand son oreille fut tranchée. De ses yeux coulaient de grosses larmes blanchâtres. Ses yeux roulaient comme des billes, sa tête et son museau tremblaient et son pauvre gros corps martyrisé, tout piqué de banderilles était parfois pris de spasmes.
Le tranchage de son oreille m’a semblé durer une éternité. C’est qu’il est dur de trancher dans le cartilage à mon avis. La pauvre bête, à bout, s’était agenouillée presque contre le rebord de l’arène, comme pour trouver un ultime refuge. Étant assise devant, j’ai vu cette abomination à moins de 2 mètres de moi.
Le visage du torero était tellement cruel pendant qu’il découpaient les chairs de cet animal innocent.....il tranchait de toutes ses forces, littéralement arque-bouté sur son couteau. Puis il a brandi l’oreille à la foule. Hurlements de joie. Hystérie complète.
Presque tout le monde était debout à ce moment-là. Enfin, on attela le pauvre taureau et il fût tiré sur ses plaies par des chevaux. Je voyais bien qu’il était encore vivant. Il haletait, ses yeux étaient ouverts et ses naseaux, d’où s’échappait un sang presque noir, tremblaient.
Je voyais ses larmes couler encore. Je pouvais l’entendre mugir de douleur malgré le volume de la musique, cette ignoble musique de fanfare qui se veut annonciatrice de joie ! cette musique restera pour moi la musique de la mort.
Je vacillais en sortant de l’arène, en larmes. Les autres, tous les autres à part moi, avaient l’air tellement ravis. Oui, ils avaient l’air repus et heureux.
Certains mangeaient même des hot dog. Jamais je n’ai compris et jamais je ne comprendrai. Quel crime avait commis cet animal pour que des hommes se permettent de le torturer de la sorte ? aucun.

Il était l’innocence. Que de souffrances ! que de sang !
POURQUOI ? Je le sais : toute l’horreur de l’humanité était bien là, ce jour-là, dans l’arène, devant mes yeux effarés d’enfant de 6 ans." ____ Eloïse Séguineau
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Un sujet qui me tient à cœur!!
Profondément atterré, dégoûté, irrité par cette fanfaronnade sadique, preuve une fois de plus de la honte que peut porter "l'humanité".
1000 MERCIS MysTerre, une description à la pointe d'une tranchante vérité!!
Très touché, heurté, horrifié par ce vécu en ces mots d'enfant grandi.
N'a-t-on pas idée d'amener des enfants en pareil lieu d'infamie sanglante. La bêtise et la cruauté potentielles de l'humain me sidèrent et me choquent tant.
Gros Bisous

Cabrel...
 
Dernière édition:

Voile bleu

Maître Poète
#65
De quel droit l'être humain octroie-t-il à sa vie une légitimité supérieure à celle de tout autre animal ou végétal?

L'homme n'est-il pas le seul être vivant à apporter le moins à notre Planète, et à lui enlever pourtant tant... tant...?

En quoi la légitimité de l'Homme sur Terre est-elle supérieure à celle d'une mouche, qui apporte bien plus à l'ensemble de l'écosystème,
écosystème que l'Homme, lui, anéantit tranquillement au fil des jours, jours offerts par notre Mère Nature si généreuse et au pardon si grand.



Le nombril de l'homme sera le tourbillon de son péril,
la Terre des Hommes, finira terre... des hommes...
 
Dernière édition:

evesansadam

Maître Poète
#67
"Oui, j’avais 6 ans et demi et ma petite sœur 3 quand nos parents ont décidé de nous faire assister à cette horreur lors de vacances en Espagne, en Juillet 1979.
Ce que j’ai vu et entendu ce jour-là m’a laissé des traces à vie. J’ai encore, plus de 30 ans après, des images très précises en tête : La vision de cette foule hystérique, visages en sueur, déformés par la jouissance de voir le taureau souffrir.
L’odeur infâme de la sueur du gros homme qui me collait dans les gradins, cet homme ivre et rouge qui hurlait et me poussait...la vision du taureau paralysé qui n’arrivait pas à mourir et qui vomissait son sang noirâtre.
Je l’entendais beugler de souffrance malgré cette musique tonitruante. Il beuglait et ses dents blanches étaient maculées de sang....jamais je n’oublierai.
Le taureau était encore vivant quand son oreille fut tranchée. De ses yeux coulaient de grosses larmes blanchâtres. Ses yeux roulaient comme des billes, sa tête et son museau tremblaient et son pauvre gros corps martyrisé, tout piqué de banderilles était parfois pris de spasmes.
Le tranchage de son oreille m’a semblé durer une éternité. C’est qu’il est dur de trancher dans le cartilage à mon avis. La pauvre bête, à bout, s’était agenouillée presque contre le rebord de l’arène, comme pour trouver un ultime refuge. Étant assise devant, j’ai vu cette abomination à moins de 2 mètres de moi.
Le visage du torero était tellement cruel pendant qu’il découpaient les chairs de cet animal innocent.....il tranchait de toutes ses forces, littéralement arque-bouté sur son couteau. Puis il a brandi l’oreille à la foule. Hurlements de joie. Hystérie complète.
Presque tout le monde était debout à ce moment-là. Enfin, on attela le pauvre taureau et il fût tiré sur ses plaies par des chevaux. Je voyais bien qu’il était encore vivant. Il haletait, ses yeux étaient ouverts et ses naseaux, d’où s’échappait un sang presque noir, tremblaient.
Je voyais ses larmes couler encore. Je pouvais l’entendre mugir de douleur malgré le volume de la musique, cette ignoble musique de fanfare qui se veut annonciatrice de joie ! cette musique restera pour moi la musique de la mort.
Je vacillais en sortant de l’arène, en larmes. Les autres, tous les autres à part moi, avaient l’air tellement ravis. Oui, ils avaient l’air repus et heureux.
Certains mangeaient même des hot dog. Jamais je n’ai compris et jamais je ne comprendrai. Quel crime avait commis cet animal pour que des hommes se permettent de le torturer de la sorte ? aucun.

Il était l’innocence. Que de souffrances ! que de sang !
POURQUOI ? Je le sais : toute l’horreur de l’humanité était bien là, ce jour-là, dans l’arène, devant mes yeux effarés d’enfant de 6 ans." ____ Eloïse Séguineau
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Trés émouvant ton récit , çà nous prend aux tripes !
C'est vrai qu'à 6 ans on se rappelle à vie , des choses comme çà ! Normal !
Merci d'avoir partagé cette émotion avec nous , même si ... QUELLE TRISTESSE ET ATROCITE !
 

Voile bleu

Maître Poète
#68
VACCINS : dés le plus jeune âge... on nous prépare à porter en nous des substances très dommageables
aluminium, mercure, ... sources de nombreux futurs, voire très futurs problèmes de santé (Alzheimer, etc...)

Reportage : "Silence... on vaccine ...."

mais la "loi"... on veut nous forcer... : Qui est désinformé ?


Concernant le Tétanos, il peut-être soigné par injection de chlorure de magnésium :
Tétanos alternative, 1
Tétanos et mensonges



Je ne livre ici rien d'exhaustif, juste une ouverture (à chacun de fouiller) pour se poser des questions et ne pas croire aveuglément ce que le corps médical (ou en tout cas les hauts placés qui chapeautent...)
tente de nous faire gober depuis si... longtemps, au détriment de tous, et pour leurs intérêts et avenir financiers,
toujours pareil...
 

MysTerre

Maître Poète
#70
[floatleft] PAYSANS.jpg [/floatleft]

La terre va-t-elle nous échapper ?
Notre Histoire va-t-elle nous échapper ?
Les petits paysans qui sont l'âme de notre pays, les gardiens de nos villages, les magiciens de la terre nourricière, eux qui pour pourvoir à notre alimentation se donnent à leur difficile tâche 365 jours par an du matin au soir, sont-ils une race en voie d'extinction ?
Sont-ils en train de livrer leur dernière bataille ?
Avec leur disparition, nos villages vont-ils mourir, devenir des déserts ?
Leur détresse me touche, elle m'atteint en plein cœur.


En face d'eux, un mur contre lequel ils se fracassent: Bruxelles. Bruxelles et sa loi implacable.
Bruxelles et les nouvelles normes européennes.
Bruxelles et les plans de modernisation de l'élevage,
Bruxelles et ses normes sanitaires environnementales.
Alors, le petit paysan s'endette pour satisfaire les technocrates.
Et il ne peut rembourser...

La machine implacable se met en marche, qui va le broyer.
La ferme, les installations, les bêtes, doivent être vendues aux enchères:
Les banques attendent, les fournisseurs attendent.
Notre petit paysan, la rage au cœur, regarde son univers s'effondrer, tout un monde s'écrouler. Son couple se disloque.
Les enfants n'auront rien, ils n'hériteront pas du labeur d'une vie, ils n'hériteront pas du savoir-faire paternel.
C'est fini, tout est fini. Il n'a plus rien à quoi se raccrocher.
Il a envie de mourir. Et de plus en plus souvent, il en meurt...
Et nos villages voient partir ceux qui les ont nourris, le désert avance, la France perd son âme....
Le petit paysan n'a plus sa place, il a perdu la bataille.
L'agriculture, maintenant, c'est une multinationale.
Mais les villages ne se résignent pas.
La France ne peut pas se résigner...


Chantal Dupille
 

Sorel27

Maître Poète
#74
"Oui, j’avais 6 ans et demi et ma petite sœur 3 quand nos parents ont décidé de nous faire assister à cette horreur lors de vacances en Espagne, en Juillet 1979.
Ce que j’ai vu et entendu ce jour-là m’a laissé des traces à vie. J’ai encore, plus de 30 ans après, des images très précises en tête : La vision de cette foule hystérique, visages en sueur, déformés par la jouissance de voir le taureau souffrir.
L’odeur infâme de la sueur du gros homme qui me collait dans les gradins, cet homme ivre et rouge qui hurlait et me poussait...la vision du taureau paralysé qui n’arrivait pas à mourir et qui vomissait son sang noirâtre.
Je l’entendais beugler de souffrance malgré cette musique tonitruante. Il beuglait et ses dents blanches étaient maculées de sang....jamais je n’oublierai.
Le taureau était encore vivant quand son oreille fut tranchée. De ses yeux coulaient de grosses larmes blanchâtres. Ses yeux roulaient comme des billes, sa tête et son museau tremblaient et son pauvre gros corps martyrisé, tout piqué de banderilles était parfois pris de spasmes.
Le tranchage de son oreille m’a semblé durer une éternité. C’est qu’il est dur de trancher dans le cartilage à mon avis. La pauvre bête, à bout, s’était agenouillée presque contre le rebord de l’arène, comme pour trouver un ultime refuge. Étant assise devant, j’ai vu cette abomination à moins de 2 mètres de moi.
Le visage du torero était tellement cruel pendant qu’il découpaient les chairs de cet animal innocent.....il tranchait de toutes ses forces, littéralement arque-bouté sur son couteau. Puis il a brandi l’oreille à la foule. Hurlements de joie. Hystérie complète.
Presque tout le monde était debout à ce moment-là. Enfin, on attela le pauvre taureau et il fût tiré sur ses plaies par des chevaux. Je voyais bien qu’il était encore vivant. Il haletait, ses yeux étaient ouverts et ses naseaux, d’où s’échappait un sang presque noir, tremblaient.
Je voyais ses larmes couler encore. Je pouvais l’entendre mugir de douleur malgré le volume de la musique, cette ignoble musique de fanfare qui se veut annonciatrice de joie ! cette musique restera pour moi la musique de la mort.
Je vacillais en sortant de l’arène, en larmes. Les autres, tous les autres à part moi, avaient l’air tellement ravis. Oui, ils avaient l’air repus et heureux.
Certains mangeaient même des hot dog. Jamais je n’ai compris et jamais je ne comprendrai. Quel crime avait commis cet animal pour que des hommes se permettent de le torturer de la sorte ? aucun.

Il était l’innocence. Que de souffrances ! que de sang !
POURQUOI ? Je le sais : toute l’horreur de l’humanité était bien là, ce jour-là, dans l’arène, devant mes yeux effarés d’enfant de 6 ans." ____ Eloïse Séguineau
Afficher la pièce jointe 3085
POURQUOI ? Je le sais : toute l’horreur de l’humanité était bien là, ce jour-là, dans l’arène, devant mes yeux effarés d’enfant de 6 ans.
Je plussoye et je ne cesse de m'interroger sur l'ambivalence du genre humain qui peut se livrer à la barbarie la plus abjecte comme au don de soi , au renoncement le plus sublime.
 

Voile bleu

Maître Poète
#75
POURQUOI ? Je le sais : toute l’horreur de l’humanité était bien là, ce jour-là, dans l’arène, devant mes yeux effarés d’enfant de 6 ans.
Je plussoye et je ne cesse de m'interroger sur l'ambivalence du genre humain qui peut se livrer à la barbarie la plus abjecte comme au don de soi , au renoncement le plus sublime.
Tout est une question d'EDUCATION, famille et environnement...
Les valeurs d'un enfant, ce sont les adultes qui lui inculquent.
Hitler aurait peut être été un homme bon SI son éducation avait été Toute autre!

Le souci c'est que ça peut venir des parents, des parents, des parents... on s'en sort pas, transmissions malsaines,
et donc ce sera à chaque génération de PARENTS de prendre ses responsabilités et de reconsidérer ( ou non :( ) ses VALEURS.
 

evesansadam

Maître Poète
#79
Suite à 1 documentaire (55mn) fort intéressant sur Fr 5 jeudi dernier à 0h30 , que je vous conseille de revoir en Replay si cela est possible mais je doute ? (fort malheureusement)
sur les personnes E H S = Electro Hyper Sensibles

Titre du documentaire était :
__ CHERCHE ZONE BLANCHE DESESPEREMENT


Ce sont quelques personnes en France qui sont Hyper sensibles aux Champs Electro Magnétiques , aux antennes-Relais :

donc tels portables WiFi 3G 4G tél Fixes sans fil micro-ondes
Sont atteints du syndrome micro-ondes = mêmes ondes pulsées qu'un micro-ondes et 1 radar etc
Sensations ressenties :
_ Forts Maux de tête à répétition
Perte et troubles de la concentration
Perte de mémoire
Troubles du sommeil importants
Accoufènes
Perturbation rythme cardiaque
Vraies sensations de Brûlures (ou Brûlures même ? )


En résumé notre air est pollué par ces ondes néfastes ces ondes pulsées ou autres bref
Reportage qui fait bondir et où j'ai envie de crier :


" ARRETEZ donc ou FREINEZ toute cette TECHNOLOGIE MODERNE ! C'est BON ! " STOP Maintenant
Les personnes suivies ds ce reportage ne savaient plus où demeurer et se réfugier , pour être à l'abri de ces antennes relais et tous ces CHAMPS ELECTRO MAGNETIQUES
qui , vs le savez comme moi sont partout !
Les ondes des Wi Fi passent à travers les murs entre voisins , on a vu 1 dame qui travaillait encore (pour combien de temps ?) aller dormir ds sa voiture chaque nuit car impossible chez elle , à cause des ondes de ses voisins , et devant 1 mari impuissant à cette situation !
Des petits groupes de personnes ont dù aménager des grottes en lieux de vie , loin de nos villes polluées par ces ondes et des antennes relais !
un jeune garçon de 12 ans , pris de maux de tête insupportables , et suivis de brûlures aux jambes , n'a pas pu monter la côte pour rentrer chez lui , ses parents venant de lui acheter 1 portable pour plus de sécurité et sérénité culpabilisaient à mort !
Ces brûlures peuvent être ressenties aussi ds les trains ...
Franchement çà fait peur tout çà

Dans certains cas , les résultats des prises de sang sont perturbés niveau globules blancs je crois !
On comprend mieux quand on a vu et entendu ce reportage pourquoi autant de cancers se déclarent chaque jour et à tout âge ! (probabilités évoquées )
J e suis désolée , c'est pas gai et pas positif surtout...
Leur conclusion que j'ai appréciée même si Ô combien triste ! fut la suivante :


__ "Si nous , petit nombre de Français avons autant de mal à savoir où nous protéger et vivre en dehors de ces champs électro magnétiques qui nous indisposent tant, et cela, une vraie galère ...
Dites-nous comment dans X années , la population entière fera , si 3/4 sera atteinte par ce MAL ,( un vrai FLEAU reconnaissons -le ! ) ? ? ? "


Je ne sais pas ce que vous en pensez , mais moi je dis : "çà fait peur ! "

Voilà c'était mon petit coup de gueule

 
Dernière édition:
F

Fleur de Jasmain

Guest
#80
Un coup de gueule très bien tourné et bien apprécié à sa lecture. Ce que tu penses tout haut je pense que beaucoup sont nombreux à le penser tout bas. Notamment parmi les anciens. Je constate moi-même ce changement. Certes parfois il faut renouveler, mais je ne cache pas qu'aujourd'hui je trouve que le forum prend beaucoup plus de place et en laisse moins pour la poésie. Je constate également la disparition de beaucoup que j'adorais lire et commenter par leur talent et ça manque beaucoup. J'aimais aussi m'y réfugier sur l'ancien créa, j'y avais trouvé comme une sorte de refuge que j'avoue je regrette aujourd'hui. Bravo Alain pour ce poème coup de gueule écrit avec ton talent et ton tact. Bisous. Fleur.