Assis le soir sur sa terrasse qui surplombe les habitations du voisinage,
il contemple ému derrière une vitre, la silhouette frêle d’une demoiselle à la hanche de guêpe qui déambule.
Vêtue de sa robe de soie rose aux dentelles dorées, elle tourne en rond dans cette mono pièce aux lumières pâles et frivoles.
Quand soudain ses fines mains se dirigent vers ses hanches pour dénouer la ceinture qui les entoure, miss guêpe laissa tendrement glisser sa robe de soie qui caresse sa peau douce aux odeurs de label.
Et comme atteint par une décharge électrique qui submergea tout son corps, le veilleur des lieux ouvrit de gros yeux de stupeur.
Sentant que la substance qui régénère pousser son égo à une libido qui lui donna le volume et la puissance qui lui permettent de pleinement jouer son rôle,
le veilleur des lieux se mit à suffoquer poussé par une saccade d’extase qui le conduisait vers cette destination bien connue.
C’est alors que se fraya son chemin tout tracé, ce nectar vital qui propulsa le voyeur vers les méandres d’une volupté sans sommation.
Miss guêpe n’avait plus qu’à s’allonger et partager, car sa victime elle, languissait et ruisselait déjà sous le coup de foudre qui le gardait prisonnier de ses sensations.
Etait-ce un coup de foudre ou un coup d’œil ? Prenez ça comme il vous convient.
il contemple ému derrière une vitre, la silhouette frêle d’une demoiselle à la hanche de guêpe qui déambule.
Vêtue de sa robe de soie rose aux dentelles dorées, elle tourne en rond dans cette mono pièce aux lumières pâles et frivoles.
Quand soudain ses fines mains se dirigent vers ses hanches pour dénouer la ceinture qui les entoure, miss guêpe laissa tendrement glisser sa robe de soie qui caresse sa peau douce aux odeurs de label.
Et comme atteint par une décharge électrique qui submergea tout son corps, le veilleur des lieux ouvrit de gros yeux de stupeur.
Sentant que la substance qui régénère pousser son égo à une libido qui lui donna le volume et la puissance qui lui permettent de pleinement jouer son rôle,
le veilleur des lieux se mit à suffoquer poussé par une saccade d’extase qui le conduisait vers cette destination bien connue.
C’est alors que se fraya son chemin tout tracé, ce nectar vital qui propulsa le voyeur vers les méandres d’une volupté sans sommation.
Miss guêpe n’avait plus qu’à s’allonger et partager, car sa victime elle, languissait et ruisselait déjà sous le coup de foudre qui le gardait prisonnier de ses sensations.
Etait-ce un coup de foudre ou un coup d’œil ? Prenez ça comme il vous convient.