Toi qui arpente encore les couloirs de la fac
Moi qui ne détiens même pas le bac
Moi manuel, toi intellectuelle
Rien n’aurait dû nous réunir
Une chance sur un milliard
Et pourtant au détour d’une partie de billard
Nos destins se sont télescopés
Jadis à coté de toi, en toute complicité
Aujourd’hui seul a cogiter
Pour par ces mots me mettre à exposer
Une touche de fragilité
Qui a l’accoutumé
N’oserait ne se dévoiler
Cacher sous une carapace de virilité
Et d’humour au second degré
Pour exposer cet état de fait
Que je ne peux vivre sans toi dans cette société
Alors j’écris ce poème pour briser l’impudence
Du silence de ma souffrance
Poème prescrit par mon esprit
Comme un remède à mon cœur
Pour le décharger de sa douleur
Toi qui par le passé me faisais sourire avec aisance
Aujourd’hui je dois faire face à la tristesse de ton absence
De notre amour d’hier il me reste les sentiments
Autrefois de notre relation ils en étaient le ciment
Aujourd’hui châtiments me consumant
J’aimerais porter sur l’échafaud
Jusqu’au dernier de mes défauts
Pour avoir la chance
D’être à nouveau à tes cotés un prochain jour
Pour continuer cette histoire
d’une idylle dont nous n’avons pas fait le tour
alors
Sans détour je te demande de me pardonner mes mauvais jours
De revenir, de demeurer mienne pour toujours.
Moi qui ne détiens même pas le bac
Moi manuel, toi intellectuelle
Rien n’aurait dû nous réunir
Une chance sur un milliard
Et pourtant au détour d’une partie de billard
Nos destins se sont télescopés
Jadis à coté de toi, en toute complicité
Aujourd’hui seul a cogiter
Pour par ces mots me mettre à exposer
Une touche de fragilité
Qui a l’accoutumé
N’oserait ne se dévoiler
Cacher sous une carapace de virilité
Et d’humour au second degré
Pour exposer cet état de fait
Que je ne peux vivre sans toi dans cette société
Alors j’écris ce poème pour briser l’impudence
Du silence de ma souffrance
Poème prescrit par mon esprit
Comme un remède à mon cœur
Pour le décharger de sa douleur
Toi qui par le passé me faisais sourire avec aisance
Aujourd’hui je dois faire face à la tristesse de ton absence
De notre amour d’hier il me reste les sentiments
Autrefois de notre relation ils en étaient le ciment
Aujourd’hui châtiments me consumant
J’aimerais porter sur l’échafaud
Jusqu’au dernier de mes défauts
Pour avoir la chance
D’être à nouveau à tes cotés un prochain jour
Pour continuer cette histoire
d’une idylle dont nous n’avons pas fait le tour
alors
Sans détour je te demande de me pardonner mes mauvais jours
De revenir, de demeurer mienne pour toujours.
