Corbeau Crétin.
Oui c’est bien compliqué de se faire gentil,
Placer l’envie de l’autre avant l’avis de soi,
Et dans l’engrenage de ce qui rend petit,
Certains avec plaisir y enfournent leurs doigts.
C’est ainsi qu’un intrus, plutôt un malfaisant,
Vient semer ses orties dans nos vers pâturages,
Comme au cours de morale il devait être absent,
Je veux bien lui donner un cours de rattrapage.
Comme il est dérangeant et surtout dissonant,
D’entendre sur créa l’écho de la bêtise,
De voir un boutonneux, ou pire un grisonnant,
Guidé par son mépris et par sa convoitise.
Et que s’approprier, les vers écrits par d’au-
tres est très très vilain et chose à ne pas faire.
Mais que de dérober aux autres leur pseudo,
C’est bien renier son nom et faire honte à son père
Car se cacher ainsi me semble assez badaud,
Et fait le seul plaisir des êtres sans courage,
Quel honneur y-a-t-il a frapper dans le dos,
Ceux qui ne voit de vous que votre noir plumage ?
Pauvre petit Corbeau, Lafontaine avant moi,
Faisait votre portrait sans même vous connaitre,
Avant vous tant d’idiots ont sévi tant de fois,
Et l’imbécile en plus, vous recopiez un traitre.
Encore une fois vous n’avez rien inventé,
Votre mépris n’est rien il est sans signature,
Et votre esprit piteux n’a rien d’autre à porter
Que de faux compliments gagnés dans l’imposture.
Votre âme et votre honneur sont en tout point salis
Car aucune fierté n’est accordée aux lâches.
Et l’esprit chiffonné faisant de mauvais plis,
Tout au fond du placard il faut bien qu’on le cache.
Alors cessez ce jeu, arrêtez d’arroser.
Car demain l’arroseur va se mouiller la pomme,
Lorsque j’expliquerai à un monde amusé,
Que même au lit, monsieur, vous n’êtes pas un homme.
Seuls les imbéciles ne changent pas d’avis,
Pour la première fois tentez l’intelligence
Votre crétinerie vous a trop desservi,
Les autres, croyez moi, connaissent l’indulgence.
Fil2fer, le 03/09/2011.
Oui c’est bien compliqué de se faire gentil,
Placer l’envie de l’autre avant l’avis de soi,
Et dans l’engrenage de ce qui rend petit,
Certains avec plaisir y enfournent leurs doigts.
C’est ainsi qu’un intrus, plutôt un malfaisant,
Vient semer ses orties dans nos vers pâturages,
Comme au cours de morale il devait être absent,
Je veux bien lui donner un cours de rattrapage.
Comme il est dérangeant et surtout dissonant,
D’entendre sur créa l’écho de la bêtise,
De voir un boutonneux, ou pire un grisonnant,
Guidé par son mépris et par sa convoitise.
Et que s’approprier, les vers écrits par d’au-
tres est très très vilain et chose à ne pas faire.
Mais que de dérober aux autres leur pseudo,
C’est bien renier son nom et faire honte à son père
Car se cacher ainsi me semble assez badaud,
Et fait le seul plaisir des êtres sans courage,
Quel honneur y-a-t-il a frapper dans le dos,
Ceux qui ne voit de vous que votre noir plumage ?
Pauvre petit Corbeau, Lafontaine avant moi,
Faisait votre portrait sans même vous connaitre,
Avant vous tant d’idiots ont sévi tant de fois,
Et l’imbécile en plus, vous recopiez un traitre.
Encore une fois vous n’avez rien inventé,
Votre mépris n’est rien il est sans signature,
Et votre esprit piteux n’a rien d’autre à porter
Que de faux compliments gagnés dans l’imposture.
Votre âme et votre honneur sont en tout point salis
Car aucune fierté n’est accordée aux lâches.
Et l’esprit chiffonné faisant de mauvais plis,
Tout au fond du placard il faut bien qu’on le cache.
Alors cessez ce jeu, arrêtez d’arroser.
Car demain l’arroseur va se mouiller la pomme,
Lorsque j’expliquerai à un monde amusé,
Que même au lit, monsieur, vous n’êtes pas un homme.
Seuls les imbéciles ne changent pas d’avis,
Pour la première fois tentez l’intelligence
Votre crétinerie vous a trop desservi,
Les autres, croyez moi, connaissent l’indulgence.
Fil2fer, le 03/09/2011.