Monde hostile et décourageant,
Qui nous prend et nous rejette
Un peu trop violemment.
Monde puéril et sans fondements,
On s'y brise le moral et la tête
Sans le vouloir forcément.
On cherche une épaule ou une oreille,
Mais on n'obtient que ronces et moralités.
On croit que nous sommes tous pareils,
Et la vérité éclate, aveuglante de réalité.
J'ai longtemps désiré cet état de confiance,
Que l'on partage avec une autre conscience.
Mais ce que l'on nomme amitié m'ignore,
Me repousse chaque jour un peu plus fort.
Monde futil et pourrissant,
Qui nous blesse et nous brise
Comme de simples ossements.
Monde inutile et décadent,
Où tout le monde méprise
Celui qui écoute son tourment.
Qui nous prend et nous rejette
Un peu trop violemment.
Monde puéril et sans fondements,
On s'y brise le moral et la tête
Sans le vouloir forcément.
On cherche une épaule ou une oreille,
Mais on n'obtient que ronces et moralités.
On croit que nous sommes tous pareils,
Et la vérité éclate, aveuglante de réalité.
J'ai longtemps désiré cet état de confiance,
Que l'on partage avec une autre conscience.
Mais ce que l'on nomme amitié m'ignore,
Me repousse chaque jour un peu plus fort.
Monde futil et pourrissant,
Qui nous blesse et nous brise
Comme de simples ossements.
Monde inutile et décadent,
Où tout le monde méprise
Celui qui écoute son tourment.