Comment oublier?
Cette journée que l'on a passée,
Ces moments délicieux
Qui n'existent qu'à deux,
Ces sensations fortes
Qui sans cesse me transportent
Vers un monde moins pire
Où tu es l'avenir,
Où tu es l'oxygène
Qui nourrit tous mes gènes,
Où tu es les fleurs
Qui poussent sur mon coeur,
Où tu es la pluie
Qui tombe dehors,
Où tu es la vie
Et interdis la mort,
La mort de nombreux sentiments
Que je pensais enfouis depuis longtemps
Et qui, quand l'amour se lasse,
Remontent à la surface.
Hier encore,
Demain toujours,
Ton merveilleux corps
Nourrira mon amour.
Mais comment oublier?
Sur moi tes mains posées,
Tes nombreuses caresses
Débordantes de tendresse,
Tes doigts de petite fée
Qui font naître mon émoi
Quand ils viennent à peine toucher
Mon visage de haut en bas.
Je veux que tu sois sûre
De l'effet que ça me procure,
Ta peau contre la mienne
C'est mon bonheur, mon Eden;
J'oublie tout,
Le temps de quelques secondes,
Et quand tu frôles mon cou
Tu deviens mon monde,
L'air que je respire,
La source de mon plaisir.
Je me sens tellement bien
Dans le creux de ta main;
De ton petit doigt à ton pouce,
Ta peau est si douce,
J'ai l'impression à chaque fois
D'être entouré de soie.
Mais comment oublier?
Tes beaux yeux au teint foncé,
Ton perçant regard
Qui, tel un poignard,
Me transperce jusqu'à la mort
Lorsque tu les poses sur mon corps;
Ce n'est pourtant pas un crime
Car tu tues ma déprime,
Tout doucement elle glisse
Le long de tes iris,
Puis vient s'envoler
Quand tes paupières ont cligné.
C'est alors que je me sens bien
Au milieu de ce cycle sans fin;
Plus tu me vois,
Plus j'entrevois
Mes yeux dans les tiens,
Notre vie pour demain.
C'est peut-être imbécile
De voir cela sous tes sourcils,
Mais je me sens tellement mieux
Quand je baigne dans tes yeux;
Je trouve alors les causes
Pour écrire toutes ces proses.
Mais comment oublier?
Ta peau si parfumée;
Je redeviens un homme
Dèslors que ton odeur m'embaume,
Je ne pense plus aux malheurs,
Entouré de mille senteurs
Toutes plus douces les unes que les autres,
Les miennent deviennent alors les nôtres
Quand je viens enlacer
Ta peau claire et satinée;
Je ressens en même temps
Ta chair et ses pigments,
Je goûte alors à ce mets
En utilisant mes baisers
Pour déguster à pleine bouche
Ton corps et sa tendre couche.
Je sens encore les prémisses
De la saveur des épices
Que contient ton enveloppe,
Et depuis ce jour tu écopes
D'enfermement à perpétuité,
Car depuis que je te désire,
Depuis que je te respire,
Dans ma tête ton parfum est emprisonné.
Cette journée que l'on a passée,
Ces moments délicieux
Qui n'existent qu'à deux,
Ces sensations fortes
Qui sans cesse me transportent
Vers un monde moins pire
Où tu es l'avenir,
Où tu es l'oxygène
Qui nourrit tous mes gènes,
Où tu es les fleurs
Qui poussent sur mon coeur,
Où tu es la pluie
Qui tombe dehors,
Où tu es la vie
Et interdis la mort,
La mort de nombreux sentiments
Que je pensais enfouis depuis longtemps
Et qui, quand l'amour se lasse,
Remontent à la surface.
Hier encore,
Demain toujours,
Ton merveilleux corps
Nourrira mon amour.
Mais comment oublier?
Sur moi tes mains posées,
Tes nombreuses caresses
Débordantes de tendresse,
Tes doigts de petite fée
Qui font naître mon émoi
Quand ils viennent à peine toucher
Mon visage de haut en bas.
Je veux que tu sois sûre
De l'effet que ça me procure,
Ta peau contre la mienne
C'est mon bonheur, mon Eden;
J'oublie tout,
Le temps de quelques secondes,
Et quand tu frôles mon cou
Tu deviens mon monde,
L'air que je respire,
La source de mon plaisir.
Je me sens tellement bien
Dans le creux de ta main;
De ton petit doigt à ton pouce,
Ta peau est si douce,
J'ai l'impression à chaque fois
D'être entouré de soie.
Mais comment oublier?
Tes beaux yeux au teint foncé,
Ton perçant regard
Qui, tel un poignard,
Me transperce jusqu'à la mort
Lorsque tu les poses sur mon corps;
Ce n'est pourtant pas un crime
Car tu tues ma déprime,
Tout doucement elle glisse
Le long de tes iris,
Puis vient s'envoler
Quand tes paupières ont cligné.
C'est alors que je me sens bien
Au milieu de ce cycle sans fin;
Plus tu me vois,
Plus j'entrevois
Mes yeux dans les tiens,
Notre vie pour demain.
C'est peut-être imbécile
De voir cela sous tes sourcils,
Mais je me sens tellement mieux
Quand je baigne dans tes yeux;
Je trouve alors les causes
Pour écrire toutes ces proses.
Mais comment oublier?
Ta peau si parfumée;
Je redeviens un homme
Dèslors que ton odeur m'embaume,
Je ne pense plus aux malheurs,
Entouré de mille senteurs
Toutes plus douces les unes que les autres,
Les miennent deviennent alors les nôtres
Quand je viens enlacer
Ta peau claire et satinée;
Je ressens en même temps
Ta chair et ses pigments,
Je goûte alors à ce mets
En utilisant mes baisers
Pour déguster à pleine bouche
Ton corps et sa tendre couche.
Je sens encore les prémisses
De la saveur des épices
Que contient ton enveloppe,
Et depuis ce jour tu écopes
D'enfermement à perpétuité,
Car depuis que je te désire,
Depuis que je te respire,
Dans ma tête ton parfum est emprisonné.
