Cœur en errance
D'une tragique souffrance
De cet être que je pensais deviné
Comme elle était belle avec ses trais plissés
Comme elle était douce dans son regard enjoué
Comme je t'ai aimé toi que je pensais
Être une véritable rencontre
Comme mon cœur ta pleuré quand tu lui as fermé ta porte
Je n'ai pas changé juste remis mon habit d'apparat
Aujourd'hui je ne veux plus de ces faux semblants
Car moi je n'ai jamais changé je t'ai toujours aimé
A présent je te ferme la porte de mon cœur
Je l'isole pour ne plus jamais aimé à nouveau
Pour ne plus jamais ressentir cette douleur
Comme elle était belle sous ses trais plissés
Comme elle était douce dans son regard enjouée
Comme je t'ai aimé toi ma dulcinée
D'une tragique souffrance
De cet être que je pensais deviné
Comme elle était belle avec ses trais plissés
Comme elle était douce dans son regard enjoué
Comme je t'ai aimé toi que je pensais
Être une véritable rencontre
Comme mon cœur ta pleuré quand tu lui as fermé ta porte
Je n'ai pas changé juste remis mon habit d'apparat
Aujourd'hui je ne veux plus de ces faux semblants
Car moi je n'ai jamais changé je t'ai toujours aimé
A présent je te ferme la porte de mon cœur
Je l'isole pour ne plus jamais aimé à nouveau
Pour ne plus jamais ressentir cette douleur
Comme elle était belle sous ses trais plissés
Comme elle était douce dans son regard enjouée
Comme je t'ai aimé toi ma dulcinée
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