"Quand je suis au plus profond de la nuit
Quand tout autour de moi, devient ténèbres
Au fond d'un silence des plus funèbres
Je retrouve la maudite année deux mille huit
Et m’apparaît celui que j'aimais tant
Je revis une étape de souffrance
Celui de qui je n'oublie pas l'absence
Qui m'a dit : « tu dois vivre, moi partant ! »
Et toi, tu étais là : un vrai cadeau
Pour me parler et adoucir mes maux
En apartés mais aussi sur la toile
Sur ma douleur s'est installé un voile
La vie continuait, tu m'y aidais
Mais ce beau jour où tu m'as dit : « je t'aime !»
Je savais que moi aussi je t'aimais
Nous avons revécu un amour bohème...
Si près, si loin, nous nous retrouvions souvent
Ta présence me tirait de l’abîme
Une braise que la flamme ranime
Ce toi et moi, m’évitait les tourments
Vint ce jour affreux où tu es parti
Toujours vivant et toujours sur la toile
Seule chez moi, mon chagrin n’a point tari
L’esprit vagabond, je mets à la voile...
Désolée, je ne fais plus qu’espérer
Tous ces très brefs séjours où exaltée
Je t’appartiens en ambiance ouatée
Mais je suis bien seule à persévérer...
Tu dis que c'est ainsi, que c’est la vie
Que vu ton âge, entre nous c'est limité
Je réponds : Docteur Faust à imiter
Chaque instant de bonheur nous y convie !
Quand tout autour de moi, devient ténèbres
Au fond d'un silence des plus funèbres
Je retrouve la maudite année deux mille huit
Et m’apparaît celui que j'aimais tant
Je revis une étape de souffrance
Celui de qui je n'oublie pas l'absence
Qui m'a dit : « tu dois vivre, moi partant ! »
Et toi, tu étais là : un vrai cadeau
Pour me parler et adoucir mes maux
En apartés mais aussi sur la toile
Sur ma douleur s'est installé un voile
La vie continuait, tu m'y aidais
Mais ce beau jour où tu m'as dit : « je t'aime !»
Je savais que moi aussi je t'aimais
Nous avons revécu un amour bohème...
Si près, si loin, nous nous retrouvions souvent
Ta présence me tirait de l’abîme
Une braise que la flamme ranime
Ce toi et moi, m’évitait les tourments
Vint ce jour affreux où tu es parti
Toujours vivant et toujours sur la toile
Seule chez moi, mon chagrin n’a point tari
L’esprit vagabond, je mets à la voile...
Désolée, je ne fais plus qu’espérer
Tous ces très brefs séjours où exaltée
Je t’appartiens en ambiance ouatée
Mais je suis bien seule à persévérer...
Tu dis que c'est ainsi, que c’est la vie
Que vu ton âge, entre nous c'est limité
Je réponds : Docteur Faust à imiter
Chaque instant de bonheur nous y convie !
Dans le train, par la fenêtre défile
Ce que je vis : difficile mais vrai
Et j'aspire à des retrouvailles fébriles
Heures enchanteresses où je revivrai !"
Je te réponds : merci Marguerite !
Méphistophélès m'a déjà puni
Et celle à qui je suis toujours uni
A de moi une aide qu'elle mérite !
Mais dans ce premier de l'an, peu magique
Ce que je te promets, c'est de toujours
Rester Coeur et âme en télégénique
Et pardon pour cet amour troubadour !
Jan
Ce que je vis : difficile mais vrai
Et j'aspire à des retrouvailles fébriles
Heures enchanteresses où je revivrai !"
Je te réponds : merci Marguerite !
Méphistophélès m'a déjà puni
Et celle à qui je suis toujours uni
A de moi une aide qu'elle mérite !
Mais dans ce premier de l'an, peu magique
Ce que je te promets, c'est de toujours
Rester Coeur et âme en télégénique
Et pardon pour cet amour troubadour !
Jan