Chevalier des ténèbres
Chevalier des ténèbres,
Je surgis la nuit,
Nul ne m'échappe...
Tu me fuis,
Ton corps peu entraîné t'handicape...
Vêtu de ma cape,
Je te regarde te débattre...
Je suis le chevalier des ténèbres,
Défendant le bien par le mal,
La veuve et l'orphelin de manière immorale...
La peur et la douleur sont avec moi,
Mais surtout, contre toi !
Prépare toi, je suis là...
La nuit, tu guettes,
Tu ne peux me voir...
Rien ne m'arrête !
Regarde toi dans le miroir,
Tes vêtements tachés du liquide rouge,
Tu as mal lorsque tu bouges !
Que peux-tu faire ?
Hormis implorer l'enfer ?
Quand j'en aurais fini avec toi,
L'enfer dans lequel je t'envoie
Te semblera être une douce caresse...
Satan te tiendra en laisse,
Les anges déchus te fouettant de leurs ailes tranchantes,
Mais pour le moment, tes tripes sortent de ton ventre...
Et tu souffres, pourri,
Crois moi, la nuit est loin d'être finie...
« Ça fait plus de mal à moi qu'à toi »
Phrase prononcée bien des fois...
Mais pourquoi te mentir ?
Tu ne veux toujours pas te repentir ?
Dois-je en finir ?
Cette douleur que tu ressens,
Existe-t-elle vraiment ?
Tu ne sais plus,
Mais as-tu seulement su un jour ?
Je ne sais plus, lentement tu meures,
Plus rien n'a de sens ni de valeur,
Mes mains sont sales,
Sales du sang du mal,
Sales de vos péchés...
Et, lorsque la terre s'ouvre entre mes pieds,
Je ne peux m'en empêcher d'esquisser un sourire...
Chevalier des ténèbres,
Je surgis la nuit,
Nul ne m'échappe...
Tu me fuis,
Ton corps peu entraîné t'handicape...
Vêtu de ma cape,
Je te regarde te débattre...
Je suis le chevalier des ténèbres,
Défendant le bien par le mal,
La veuve et l'orphelin de manière immorale...
La peur et la douleur sont avec moi,
Mais surtout, contre toi !
Prépare toi, je suis là...
La nuit, tu guettes,
Tu ne peux me voir...
Rien ne m'arrête !
Regarde toi dans le miroir,
Tes vêtements tachés du liquide rouge,
Tu as mal lorsque tu bouges !
Que peux-tu faire ?
Hormis implorer l'enfer ?
Quand j'en aurais fini avec toi,
L'enfer dans lequel je t'envoie
Te semblera être une douce caresse...
Satan te tiendra en laisse,
Les anges déchus te fouettant de leurs ailes tranchantes,
Mais pour le moment, tes tripes sortent de ton ventre...
Et tu souffres, pourri,
Crois moi, la nuit est loin d'être finie...
« Ça fait plus de mal à moi qu'à toi »
Phrase prononcée bien des fois...
Mais pourquoi te mentir ?
Tu ne veux toujours pas te repentir ?
Dois-je en finir ?
Cette douleur que tu ressens,
Existe-t-elle vraiment ?
Tu ne sais plus,
Mais as-tu seulement su un jour ?
Je ne sais plus, lentement tu meures,
Plus rien n'a de sens ni de valeur,
Mes mains sont sales,
Sales du sang du mal,
Sales de vos péchés...
Et, lorsque la terre s'ouvre entre mes pieds,
Je ne peux m'en empêcher d'esquisser un sourire...
