De tes pétillants yeux rieurs et envieux
Tu me regardes discrètement au loin,
Assis sur cette chaise, tout silencieux
Tu n’oses t’avancer et venir vers moi.
Ton doux corps antillais ne résiste plus
A la chaleur de ce tempo du soleil.
Tu ne lâches plus mes mouvements de ta vue ;
Tu voudrais que de toi je pense pareil.
Viens donc que je sente ta peau contre moi
Fait passer la chaleur du bout de tes doigts
Ne te perds pas dans tes pas, emmène-moi
Au feu couchant enflammé transporte-moi.
Tes mains sur mes hanches me font tant frémir
Tes proches lèvres qui effleurent ma peau
Ne t’arrêtes donc plus je ne veux finir
Qu’au bout de la nuit tout près de ton cœur chaud.
Tu me regardes discrètement au loin,
Assis sur cette chaise, tout silencieux
Tu n’oses t’avancer et venir vers moi.
Ton doux corps antillais ne résiste plus
A la chaleur de ce tempo du soleil.
Tu ne lâches plus mes mouvements de ta vue ;
Tu voudrais que de toi je pense pareil.
Viens donc que je sente ta peau contre moi
Fait passer la chaleur du bout de tes doigts
Ne te perds pas dans tes pas, emmène-moi
Au feu couchant enflammé transporte-moi.
Tes mains sur mes hanches me font tant frémir
Tes proches lèvres qui effleurent ma peau
Ne t’arrêtes donc plus je ne veux finir
Qu’au bout de la nuit tout près de ton cœur chaud.